Voici A 14 ans, Char­lotte Gains­bourg a vécu un premier amour secret avec un homme beau­coup plus âgé qu’elle

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Bien avant sa majo­rité, à 14 ans, Char­lotte Gains­bourg a vécu une longue histoire d’amour avec un homme beau­coup plus âgé qu’elle. Une révé­la­tion que l’ar­tiste vient de faire dans la presse améri­caine.

Timide et très pudique, Char­lotte Gains­bourg ne se livre que très rare­ment sur sa vie senti­men­tale. Elle vient – toute­fois – de faire une excep­tion face à Danger Mouse dans le dernier numéro d’Inter­view. Au cours de cette longue conver­sa­tion, la fille de Serge Gains­bourg a révélé qu’a­do­les­cente, elle avait vécu une longue histoire d’amour avec un homme bien plus âgé qu’elle. La romance durera « cinq ans, de mes 14 à mes 19 ans ». Cinq longues années durant lesquelles Char­lotte et son amou­reux feront tout pour garder cette histoire secrète. « J’avais deux amis de longue date que j’ai perdu à cause de cela, a avoué Char­lotte Gains­bourg. Du fait qu’il était beau­coup plus âgé que moi, personne ne devait être au courant. Même mes parents. »

La rupture se fera aux 19 ans de Char­lotte. Une période durant laquelle la jeune femme menait plusieurs combats de front. « Mon père est mort au même moment, a confié l’égé­rie du Comp­toir des Coton­niers. J’étais dans un sale état. J’avais telle­ment besoin de [mon père] pour me conso­ler de mon chagrin d’amour… » Son salut vien­dra quelques mois plus tard, lorsqu’elle tombera sous le charme d’un certain Yvan Attal. « Ce n’est pas mon mari parce que nous ne sommes toujours pas mariés, mais nous sommes ensemble depuis que j’ai 19 ans, a souli­gné Char­lotte. Je pense que nous nous sommes rencon­trés la première fois à mes 18 ans, mais les choses ne sont deve­nues sérieuses entre nous qu’un mois après la mort de mon père. [Yvan] a été telle­ment patient… J’étais telle­ment perdue. Je pleu­rais tous les jours » La cica­tri­sa­tion totale ne vien­dra que lorsqu’elle accou­chera de son premier enfant, à ses 25 ans. « Le monde s’est ouvert à moi d’un coup, a-t-elle conclu. [Yvan] m’a dit à ce moment là qu’a­vant, je ne faisais que regar­der la mort, et qu’a­vec cette nais­sance, je m’étais auto­ri­sée à regar­der la vie. »

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