Les défenseurs kényans des droits de l’homme sont vent debout contre les autorités locales qui ont condamné en juin dernier les six auteurs d’un viol collectif perpétré sur une adolescente de 16 ans à une très faible peine d’intérêt général. Ils ont simplement été obligés de tondre la pelouse d’un commissariat avant d’être relâchés.