La cour d’appel de Paris a condamné, vendredi après-midi, le président de L’Arche de Zoé Eric Breteau et sa compagne Emilie Lelouch à deux ans de prison avec sursis. Ils avaient tenté, en 2007, d’exfiltrer du Tchad vers la France 103 enfants présentés comme des orphelins du Darfour.
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Vaccins : Les enfants tchadiens ont ils servi de Cobayes ? Des documents confidentiels accablants le prouvent
Qu’attend-il le ministre de la santé pour s’exprimer publiquement sur ce scandale? Va t-il démissionner ou s’accrocher à son poste malgré ce drame qui a frappé ces pauvres enfants? Ou bien au Tchad, la valeur de l’être humain reste sous estimée? Que va t-il faire le gouvernement pour gérer cette situation? Comment va t-il réagir le premier ministre?
Le Blog Tv News Document exclusif (signé Marc Garmirian) dans 66 minutes : le scandale des enfants du Tchad
Le magazine 66 minutes , diffusé sur M6, propose ce dimanche un document exclusif tourné par Marc Garmirian de l’agence Capa, toujours en détention au Tchad, et qui a enquêté jour après jour, en tant que journaliste, sur l’incroyable opération imaginée par les responsables de « L’Arche de Zoé ».
Reportage M6, 66 Minutes Le scandale des enfants du Tchad
Reportage sur l’association humanitaire « Arche de Zoé ». Cette ONG française, dont le quartier général est basé à Abéché au Tchad, accueille des orphelins venus du Darfour. Eric BRETEAU président de l’association et pompier volontaire, et sa femme Emilie LELOUCH, infirmière, souhaitent évacuer clandestinement des enfants en France. Ce reportage présente le fonctionnement de l’Arche de Zoé, ses missions humanitaires, et évoque la préparation de l’évacuation par avion des orphelins. Cette opération tourne au cauchemar. Arrêté par les autorités tchadiennes avant de prendre l’avion, les enfant ne sont pas évacués et les volontaires de l’ONG sont arrêtés.
Afrik.com Tchad : l’affaire Arche de Zoé, un sac de nœud politico-humanitaire
Les membres de l’association l’Arche de Zoé et deux journalistes, neuf français et sept espagnols, arrêtés jeudi pour « trafic d’enfants » ont vu leur garde à vue se prolonger de 48 heures, remettant à lundi soir l’annonce de leur chef d’inculpation.