Cohn-Bendit devrait pourtant savoir qu’on ne peut indéfiniment cogner sans recevoir des coups à son tour. Il devrait savoir aussi que l’on ne peut éternellement rester le chouchou à qui tout est pardonné, pour qui tout est permis, au nom d’un ticket gagnant il y a 45 ans. Hélas, tout lasse, tout casse en ce bas monde.
Le feuilleton Daniel Cohn-Bendit continue de dévoiler les affaires sur la pédophilie parmi les fondateurs historiques du parti allemand des Verts. Un nouveau témoignage issu des rangs des fondateurs des Verts vient accabler encore Daniel Cohn-Bendit directement.
Les Verts allemands font face aux pages les plus sombres de leur passé. A quelques mois d’élections nationales, le mouvement écologiste fait le grand ménage sur la question de la pédophilie. Dans les archives du parti, des documents qui rappellent que certains membres des Verts, dans les années 80, voulaient légaliser la pédophilie. Surfant sur la vague « peace and love » des années 70, ils voulaient libérer la sexualité, au risque d’aller trop loin.
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Comité d’accueil de la Ligue du Midi lors de la venue de Daniel Cohn Bendit au cinéma Diagonal de Montpellier. Richard Roudier, président de la Ligue du Midi fustigeait cet individu issu des mouvements marxistes, anarchistes et gauchistes Mai 68 et frayant aujourd’hui avec l’ultra libéralisme.
Les pancartes “Casse toi pov’ Cohn” et Pédophiles defòra!” résumant tout le bien que la population pense de cet individu…
Crimes – Les Verts allemands vont désigner un expert indépendant pour faire la lumière sur l’influence d’un groupe militant pour la pédophilie au sein du parti écologiste dans les années 1980.
Aujourd’hui Daniel Cohn-Bendit ne peut plus sortir ni à Berlin, ni en Pologne sans être rappelé à son passé avec son livre le Grand Bazar. Le célèbre réalisateur polonais, Grzegors Braun, ayant tout récemment appris les dires et les allusions sexuelles de Daniel Cohn-Bendit envers les enfants a porté une plainte en Pologne pour pédophilie contre l’eurodéputé franco-allemand. A Berlin dans deux conférences, où Daniel Cohn-Bendit participait, un homme a interrompu le bon déroulement de ces dernières et montré du doigt Daniel Cohn-Bendit avant de dire « cet homme est un pédophile » avant de lire le passage incriminé du Grand Bazar ou d’interpeller l’assemblée sur le passé de l’eurodéputé.
Voir aussi, la première intervention de Selbstjustiz, 3 jours avant:
Au centre d’une polémique en Allemagne pour ses écrits sur la pédophilie, Daniel Cohn-Bendit renonce au Grand Prix des Médias franco-allemand 2013. «L’expérience qu’il a faite lors de la remise du Prix «Theodor-Heuss», le 20 avril dernier, et les retombées médiatiques négatives l’ont amené à prendre cette décision», expliquent les organisateurs du prix franco-allemand du journalisme dans leur communiqué.SUR LE MÊME SUJET
Le 24 avril, le député européen d’extrême-gauche devait participer à un débat sur l’Europe à l’Institut de Politologie de l’université de Wroclaw, en Pologne. Face à la vague de protestations que cela a soulevé, et craignant sans doute d’y être conspué, « Dany le Rouge » a préféré annuler sa participation. Les protestataires reprochaient aux organisateurs d’avoir invité un activiste d’extrême-gauche qui a reconnu dans son autobiographie Le Grand Bazar publiée en 1975 avoir eu des attouchements pédophiles avec des enfants de 5 ans d’une école maternelle de Francfort sur le Main où il travaillait. Des aveux réitérés dans l’émission Apostrophes du 23 avril 1982.
Cette fois c’est le Président de la Cour constitutionnelle fédérale allemande, Andreas Voßkuhle, 50 ans, qui vient de refuser de lire le discours de remise du prix prestigieux Theodor Heuss à Daniel Cohn-Bendit, 68 ans, qui devait célébrer son combat pour la démocratie et les droits fondamentaux le 20 avril à venir. « Le Président ne pouvait pas associer la Cour avec des écrits parlant de la sexualité entre les adultes et les enfants »,expliquent le service de presse.
Surfant sur le débat autour du mariage gay, l’offensive médiatique en faveur de la société uniséxe se poursuit. Après Jacques Attali et ses prédictions tout droit sorties de la matrice, c’est au tour du pédophile Daniel Cohn Bendit de monter au créneau en posant avec des talons aiguilles sous prétexte de s’engager dans la lutte contre le sexisme. C’est le journal Marie-Claire qui a organisé ce shooting qui regroupe au total 8 célébrités. Comme chacun peut le constater, le résultat est grotesque, avec leurs escarpins rouges taille 44, on croirait voir une bande de travelos brésiliens.
Quand au message qu’ils ont voulu transmettre, il est très flou. S’agit il de dénigrer les talons aiguilles et par conséquent les objets typiquement féminins ? S’agit il de montrer qu’un homme peut accepter sa part de féminité ? On ne sait pas trop mais une chose est sûre : Le fait qu’ils puissent poser dans un tel accoutrement indique surtout que ces types sont passablement dégénérés.
En 2001, quand éclate la polémique sur son livre « Le grand Bazar » publié en 1975, Daniel Cohn-Bendit admet la provocation mais, comme Joschka Fischer, dénonce la chasse à l’homme.
