(Photo: « Another World ii » (un autre monde ii), par M.C. Escher, 1947)
Par Fritz Springmeier et Cisco Wheeler
Note du traducteur: ceci est donc la deuxième partie du livre unique en son genre de Fritz Springmeier et Cisco Wheeler, traitant du très réel programme « Monarch » (monarque, d’après le nom du papillon du même nom). Il contient des détails très poussés – et les chapitres suivants encore plus – sur différentes manières de traumatiser un enfant en bas âge. J’accomplis ce travail de traduction, non pas pour encourager qui que ce soit à faire de même, mais pour informer sur la réelle nature subtilement cachée de plusieurs personnages occupant des postes à très haute responsabilité sur cette planète, ou encore des artistes célèbres, et pour révéler la vraie nature de leurs âmes, noircies par la pire malveillance qui soit. Ne répétez pas chez vous ce qui se trouve dans ce livre, ou subissez-en les conséquences. Will Summer.
Troisième édition – anglais (sortie en juillet 2014)
Description
Les victimes d’abus rituel souffrent souvent de troubles de la personnalité multiple.
Ce voyage nous entraine dans le monde déroutant et clandestin des survivants d’abus rituels en mettant en lumière leurs expériences catastrophiques et leurs efforts pour en guérir par la suite.
Revue, mise à jour et augmentée, cette troisième édition est l’un des volumes les plus fiables et impartial pour faire face aux vifs débats que provoquent ce sujet. intégrant les observations de première main des auteurs, le livre présente les abus rituels à la fois dans le contexte historique, anthropologique, psychologique et contemporain.
« Don’t Make Me Go Back, Mommy »(Maman, ne me fais pas y retourner) est un livre pour enfants dont l’auteur est Doris Sanford. Il a été publié en 1990.
Gaby Breitenbach doit avoir vu et entendu de terribles choses. Cette psychothérapeute allemande raconte comment parfois, à un très jeune âge, des femmes sont systématiquement torturées par des personnes cherchant à diviser leur esprit en multiples identités. Leur but étant évidemment de contrôler les victimes, mais aussi de les faire passer comme normale, avec une personnalité semblant tout à fait normale d’un point de vue extérieur. Bien que l’identité (personnalité) de tous les jours de la victime n’aura aucune mémoire du traumatisme vécu, Breitenbach affirme que les agresseurs sont en mesure d’accéder aux autres identités par divers moyens déclencheurs. Cela peut-être quelque chose d’aussi simple qu’une sonnerie.
En Australie, une sale affaire a fait scandale il y a quelques temps. Presque un classique: une histoire de réseau pédophile et sataniste, dont les membres très bien placés font tout pour éviter qu’il ne soit mis à jour. A l’origine de ces accusations, un médecin, le Dr Reina Michaelson, qui a eu affaire à eux.
Voici un article publié par un auteur anonyme ayant été lui-même victime d’abus rituels sataniques dans son enfance et en lien avec un certain milieu d’illuminés…