Lancement du livre de Mathilde Brasilier :
« Il y avait le jour, il y avait la nuit, il y avait l’inceste »
Editions Mélibée
Interview par Jean Lieffrig éditeur du CD audio du livre
de Mathilde Brasilier Editions » Autrement dit »
et intervention de Hélène Romano
(Docteur en psychopathologie clinique).
Les thèmes de l’inceste et de l’amnésie seront abordés.
Archives de catégorie : (livre2015) Il y avait le jour, il y avait la nuit, il y avait l’inceste
(France 2, Toute une histoire) Outreau, inceste : cette enquête qui a bouleversé leur vie (avec Jonathan Delay, Mathilde Brasilier, Hélène Romano …)
Sophie Davant reçoit Jonathan Delay, fils de Thierry Delay et Myriam Badaoui, couple condamné dans l’affaire Outreau qui a défrayé la chronique judiciaire au début des années 2000.
(Extraits, Éditions Autrement dit) Il y avait le jour, il y avait la nuit, il y avait l’inceste, lecture par l’auteur (Mathilde Brasilier)
Lecture par Mathilde Brasilier de son livre « Il y avait le jour, il y avait la nuit, il y avait l’inceste », dans les studios des éditions Autrement dit, suivie d’une entrevue exclusive entre l’auteur et son éditeur-audio. Lecture disponible en CD MP3 DANS TOUTES LES LIBRAIRIES (« LES BELLES LETTRES »), A LA FNAC ainsi que sur AMAZON.
MK-Polis Inceste et amnésie traumatique : le témoignage de Mathilde Brasilier
Le phénomène de dissociation avec les mémoires traumatiques provoquant des amnésies est quelque chose de très controversé au sein des institutions psychiatriques et judiciaires. Pourquoi ce domaine de la psychotraumatologie, pourtant très sérieux, est-il autant négligé et même discrédité au sein des institutions garantes de la justice, la sécurité et de la prise charge des victimes ? Pourtant les exemples concrets d’amnésies dissociatives ne manquent pas, tout comme les études sur cette fonction du cerveau humain.
LIvre / Mathilde Brasilier Il y avait le jour, il y avait la nuit, il y avait l’inceste
« Je suis chaque matin l’enfant qui arrive à l’école sans ses chaussures, en pleurant, mais quelle chance… son père est venu jusqu’à l’école, en courant le long du boulevard Saint-Germain pour que sa petite fille ait ses chaussures aux pieds et s’arrête de pleurer. Et que la honte d’avoir les pieds nus, elle est dérisoire face à une blessure en sept lettres, qui commencerait par la lettre « I », et ne se terminerait jamais. J’avais cinq ans. Je me sentais désavouée dans l’indifférence du monde. » Maud Steiner, fille d’un père architecte Prix de Rome et d’une mère sculpteur, a grandi à Saint-Germain-des-Prés dans les années 60. Après le suicide de son frère Fabien, elle cherche durant quinze ans une explication. Au cours d’un travail thérapeutique, des flashs de sa petite enfance réémergent… L’amnésie s’efface.