L’homme écroué pour le meurtre d’une des « disparues de l’A6 », fin 1996 en Saône-et-Loire, a avoué le crime après avoir été confondu récemment par de nouvelles expertises ADN, 18 ans plus tard.
L’homme écroué pour le meurtre d’une des « disparues de l’A6 », fin 1996 en Saône-et-Loire, a avoué le crime après avoir été confondu récemment par de nouvelles expertises ADN, 18 ans plus tard.