Retour en Australie, où depuis quelques jours d’anciens premiers ministres sont accusés d’avoir participé à un réseau pédophile. Ces accusations ne sont pas nouvelles, mais elles se précisent, dans un contexte où les scandales de pédophilie dans l’Eglise locale n’en finissent plus. Certaines victimes, en tout cas, ont décidé de mettre les pieds dans le plat: il est aujourd’hui question de pratiques satanistes et de contrôle mental.
Un nouveau lot de documents relatifs à une affaire de sévices présumés sur des enfants, par des membres du gouvernement britannique révèle que l’enquête s’était arrêtée sur la seule déclaration d’un parlementaire.
L’allégation était aussi claire qu’effrayante : derrière la façade distinguée de l’un des plus célèbres immeubles de Londres, les enfants ont subi des abus à l’échelle industrielle.
Tout laisse à penser que Peter Hayman (photo ci-contre), ancien n°2 du MI6, les services secrets britanniques, aujourd’hui décédé, fut membre d’un réseau pédophile qui impliquait des hommes politiques de haut niveau dans les années 1980 et 1990.