Le livre d’un journaliste allemand révèle que Wolfgang Priklopil a réalisé quelques vidéos de la séquestration imposée à Natascha Kampusch. La jeune femme a passé 8 ans dans une cave en Autriche.
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(Reportage NT1, Chroniques Criminelles) Natascha Kampusch, huit ans de calvaire
« Le 2 mars 1998, la petite Autrichienne est enlevée sur le chemin d’école.
Elle ne réussit à s’échapper que le 23 août 2006. »
Film / Bande annonce 3096
3096 (3096 Tage) est un drame biographique allemand de Sherry Hormann sorti en 2013. Il s’agit de l’adaptation cinématographique du livre 3096 jours retraçant l’histoire de Natasha Kampusch, enlevée et séquestrée durant 8 ans par son geôlier Wolfgang Přiklopil.
Le Figaro Les zones d’ombre de l’affaire Kampusch
Alors que la première du film 3096 jours, qui retrace le calvaire de l’Autrichienne, a lieu ce lundi à Vienne, l’affaire est loin d’être classée.
TF1, Sept à Huit Natascha Kampusch, l’enfance volée
Le 2 mars 1998, à l’âge de 10 ans, elle est enlevée sur le chemin de l’école. Pendant 3096 jours Wolfgang Priklopil la gardera prisonnière. Pour sa première interview télévisée en France, Natascha Kampusch, a choisi de se confier à Thierry Demaizière
LCI La nouvelle interview de Natascha Kampusch
Trois mois et demi après son évasion, la jeune fille a accordé un second entretien à la télévision autrichienne.
La nouvelle interview de Natascha Kampusch sur WAT.tv sélectionnée dans Actualité
Source: http://videos.tf1.fr/infos/2006/nouvelle-interview-natascha-kampusch-5498964.html
Le Point L’histoire vraie du calvaire de Natascha Kampusch
«Natascha ne va pas aussi bien qu’on le montre. Il l’a frappée jusqu’au bout, elle a des bleus partout, des os cassés, elle a de gros problèmes aux yeux. Elle a énormément souffert. » G. s’est occupé de Natascha Kampusch les sept premiers jours de sa libération. Puis, affolé par la pression médiatique, il a renoncé. Aujourd’hui, il répugne à témoigner, tout juste accepte-t-il de confier anonymement ses souvenirs : « Je suis descendu dans sa cave, j’y suis resté cinq minutes. Vous ne pouvez pas imaginer ce que c’est. Aucune photographie, aucun récit ne peut rendre l’étouffement, l’oppression, l’horreur de ce cachot. Ce furent les minutes les plus effrayantes de mon existence, j’avais le vertige, la nausée. Je l’imaginais là, à sa merci. Si j’avais été prisonnier dans cette cave, j’aurais fait tout ce qu’on exigeait de moi. Tout, vraiment tout. »