Un nouveau procès a accusé Twitter de fermer les yeux sur la pornographie enfantine sur sa plateforme, affirmant qu’il a ignoré les demandes répétées d’une victime mineure du trafic sexuel pour retirer des images explicites obtenues par chantage.
La plainte, déposée mercredi par l’adolescent victime et sa mère dans le district nord de Californie, soutient que Twitter a refusé de retirer les vidéos sexuellement graphiques au motif qu’elles ne violaient pas sa politique, leur permettant ainsi d’accumuler plus de 150 000 vues.