L’Agence France-Presse (AFP) est, avec l’américaine Associated Press et la britannique Reuters, l’une des trois agences de presse mondiales et généralistes chargées de collecter, vérifier, recouper et diffuser l’information, sous une forme neutre, fiable, et utilisable directement par tous types de médias (radios, télévision, presse écrite, sites internet) mais aussi par des grandes entreprises et administrations. Réalisant la moitié de son chiffre d’affaires commercial à l’étranger, l’AFP est implantée dans environ 150 pays avec 200 bureaux. Elle assure depuis 1957 une couverture complète de l’actualité mondiale, dans tous les domaines et sous toutes ses formes : photographie, infographie, vidéo et texte dans six langues. À la différence de son lointain ancêtre Havas, l’AFP n’a pas d’actionnaire. Son conseil d’administration est composé majoritairement d’éditeurs de presse, à l’instar de l’Associated Press et de Reuters jusqu’en 1984. Pour garantir son indépendance, la loi exige qu’elle équilibre son budget, après amortissement comptable des investissements, l’AFP ayant de plus accès aux marchés financiers pour emprunter.
Après l’affaire Gammy, la gestation pour autrui (GPA) retrouve la une des médias en Australie. Un père a été mis en examen pour abus sexuels sur ses jumeaux, issus d’une mère porteuse thaïlandaise, et détention de documents à caractère pédophile, rapporte la presse australienne mardi 2 septembre.Siriwan Nitichad avait accepté de porter le bébé d’un couple d’Australiens qui n’arrivaient pas à concevoir d’enfant, donnant ses propres ovules en échange de 3 900 euros, selon le groupe audiovisuel public Australian Broadcasting Corporation (en anglais).
L’épouse a désormais la charge des enfants
Le père australien dément les accusations et doit être renvoyé devant un tribunal avant la fin 2014. C’est son épouse, dont il est désormais séparé, qui a la charge des jumeaux. Siriwan Nitichad a toutefois déclaré qu’elle était prête à recueillir les jumeaux en cas de besoin. « S’ils n’ont personne pour prendre soin d’eux, nous serons heureux de le faire », assure-t-elle.
Choqués et indignés, des parents et des proches ont tenté mercredi 16 juillet de récupérer certains des centaines d’enfants contraints de mendier ou victimes d’abus sexuels retrouvés par la police vivant dans des conditions inhumaines dans un foyer de l’ouest du Mexique.
L’homme est une figure de l’île, connu pour traiter des dossiers sensibles. Hakim Karki, juge d’instruction de Mayotte, a été mis en examen pour viol et écroué lundi 7 juillet à la Réunion.
Le Japon était le seul pays du G7 où la détention de matériel de pornographie infantile demeurait légale .
Jusque-là, et de façon étrange et choquante pour beaucoup, seules la production et la distribution de documents de pornographie infantile étaient interdites, mais pas la simple possession. Ce mercredi, la chambre haute du Parlement a massivement voté le texte faisant de cette possession un délit passible de prison (jusqu’à un an) et d’une amende pouvant atteindre 7.225€.
Dix hommes et une femme soupçonnés d’être le noyau dur d’un réseau pédophile actif dans tout le pays ont été arrêtés samedi soir dans le centre de l’Allemagne, a annoncé la police allemande dimanche.
Près d’un an jour pour jour après la disparition de Fiona, 5 ans, une marche blanche a rassemblé dimanche une centaine de personnes à Clermont-Ferrand, avant de nouvelles fouilles organisées mardi pour tenter de retrouver son corps, élément clé pour faire avancer l’enquête.
Un homme de 48 ans, professeur de tennis à Levallois-Perret, a été mis en examen mercredi 7 mai pour « viols et agressions sexuelles sur mineures » par le procureur de la République de Nanterre. Il est soupçonné d’avoir abusé à plusieurs reprises de trois élèves âgées de 12 à 17 ans entre 1995 et 2002.
Elles faisaient chanter des internautes pour leurs photos ou vidéos explicites. Cinquante-huit personnes ont été arrêtées aux Philippines, dans le cadre d’une enquête internationale. Elles sont poursuivies pour pédopornographie et extorsion. Pour l’unité de lutte contre la cybercriminalité d’Interpol, il s’agit d’un phénomène en plein essor dans le monde entier.
La Cour suprême indienne a reconnu, mardi 15 avril, la communauté transgenre comme étant un troisième genre, ni masculin ni féminin.
Cette décision va permettre à plusieurs millions de personnes qui ont subi une opération chirurgicale de changement de sexe ou qui adoptent le mode de vie de l’autre genre sans forcément avoir changé de sexe, sans oublier les eunuques, de faire reconnaître leurs droits. « La reconnaissance des transgenres comme un troisième genre n’est pas une question sociale ou médicale, mais une question de droits de l’homme », a déclaré le juge K. S. Radhakrishnan.