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Samedi 22 décembre, Place du Châtelet, Paris, 14h00, quelques personnes se réunissent dont Dangelo94 et moi-même pour manifester contre la journée de l’International Boy Love Day. La pluie est au rendez-vous mais certains ont malgré tout fait l’effort de se déplacer. Au final, une petite vingtaine de personnes se retrouve sur la place du Châtelet. France 2 est de la partie et y va de son interview, je réponds en présence d’une militante et mère victime des abus des services sociaux du Val-de-Marne à quelques questions concernant Stan Maillaud et Janett Seemann, visiblement le but de cette manifestation fut mal compris car nous étions présents pour manifester contre l’IBLD mais les journalistes semblaient beaucoup plus intéressés par Stan Maillaud, que les médias français descendent en flèche en le présentant comme un personnage trouble, instable psychologiquement et très attiré par le kidnapping. Je donne une seconde interview puis la journaliste de France 2 revient vers moi et semble perdue face aux réponses que nous lui avons fournis, la mère et moi. Précédemment, en répondant à une de ses questions j’ai glissé une quenelle à Olga Spitzer face caméra en expliquant que dans le dossier de la mère dont les enfants sont victimes de ces réseaux, cet organisme intervient et détruit les preuves que possède la mère sans avoir l’autorisation d’intervenir sur le département du Val-de-Marne, pourtant Olga Spitzer et sa bande de voleurs/menteurs/collabos sont bel et bien présents sur son affaire. Au fur et à mesure des réponses, la journaliste semble intéressée par le sujet et nous échangeons nos coordonnées afin de «
faire quelque chose ensemble » pour reprendre exactement ses mots, l’avenir nous dira si France 2 se manifestera. Mais que faisait cette journaliste à cette manifestation alors que la pédocriminalité est un sujet tabou ? Nous devons sa présence grâce à un article du journal Le Parisien titré «
Les dangereuses méthodes des militants antipédophiles » et un autre paru le jour d’avant «
Militants antipédophiles : un chef charismatique et mythomane« . Ces deux articles publiés le 21 et le 22 décembre 2012 offrent un bon angle de vue sur la façon dont les médias français traitent ces dossiers. Par le passé, l’affaire Marion Wagon, Véronique Liaigre ou Zandvoort faisaient déjà l’objet de mauvais articles en oubliant de parler de réseau de trafic d’enfant, de l’existence des rituels et crimes sataniques auxquels a assisté et participé Véronique Liaigre, des snuffs-movies… Les articles parlaient de viols en réunion pour l’affaire Liaigre, mais face à la caméra d’un média, Véronique explique qu’elle et ses sœurs ont subis des viols aggravés pendant 11 ans dans un petit village du 49, Jallais. Tout le village savait ou était impliqué dans ces orgies pédophiles mais la chose la plus étonnante restera les révélations que fera Véronique sur un plateau télé, révélations qui sont aujourd’hui impossible à retrouver. Véronique rapporte qu’elle a beaucoup voyagé, assisté et même participé a un sacrifice d’enfant sous la menace de l’arme d’un haut-gradé d’Angers. Elle explique avoir des infos sur Marion Wagon et rapporte notamment l’existence de bébés africains nés de viols, sous X, qui ne servent qu’au sacrifice. Aucune de ces informations ne passent dans la presse, les médias taisent l’existence des réseaux élitistes sataniques et de leurs patrons hauts placés dans notre système pyramidale. Le rassemblement ne fut donc pas un succès vu le trop petit nombre de militants présents sur les lieux, mais pourrait donner une impulsion à un mouvement qui se met doucement en place suite à la conférence de Janett Seemann à Amancey.
LES MEDIAS
Habitués de la désinformation car ils en sont les principaux acteurs, les médias tournent autour du mouvement antipédophile depuis quelques mois mais pour tourner au ridicule les militants et sans parler une seule fois des victimes ni des réseaux. Leur cible préférée est Stan Maillaud, en qui les médias voient une sorte de gourou maniaque du kidnapping ayant monté un mouvement, le RRR. Seul problème, à part ce qui est déjà paru dans la presse (Paris Match) et les quelques vidéos qui tournent sur Internet, les journalistes ne connaissent pas Stan Maillaud et ne dénoncent presque jamais le combat dans lequel il est impliqué, sauf lorsque c’est pour se moquer de ce dernier en parlant d’un homme qui se serait engagé dans une lutte contre des soi-disant réseaux pédocriminels, mais que cet engagement semble cacher autre chose de plus sombre.
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