Scandale sur Canal + ! Le 30 mai, au « Grand jury », le philosophe Luc Ferry met en cause « un ancien ministre qui s’était fait coincer à Marrakech dans une partouze avec des petits garçons ». S’il est impossible de donner le nom du suspect avant une inculpation officielle, « Minute » peut déjà annoncer, en exclusivité, toutes les questions qu’ont posées les policiers chargés d’enquêter sur la fameuse soirée où ce pervers aurait fait étouffer ses abus pédophiles au nom de la raison d’Etat.
La pédophilie serait «comme une orientation sexuelle» donc, inchangeable aux yeux de ceux qui recherchent cette pratique sexuelle déviante.
C’est du moins l’une des hypothèses exposées par Hubert Van Gijseghem, psychologue et expert psycholégal qui œuvre dans la recherche et dans l’expertise sur les abus sexuels depuis le début des années 70.
Comment, après la Seconde Guerre mondiale, le parti du chancelier Adenauer fut financé par un vaste réseau occulte réunissant agents de la CIA et anciens nazis.
La loi du silence peut aussi couvrir des crimes à l’étranger. Il y a quelques années, des policiers de Marrakech effectuent une descente nocturne dans une villa de la palmeraie où une fête bien spéciale bat son plein. Les participants, des Français, sont surpris alors qu’ils «s’amusent» avec de jeunes garçons. Comme il se doit, la police embarque les adultes pris en flagrant délit. Parmi eux, un personnage proteste avec véhémence. Au commissariat, son identité est confirmée: il s’agit d’un ancien ministre français.
Maurice Gutman, ancien conseiller municipal (UMP) chargé d’Internet du Mesnil-Saint-Denis (Yvelines),
membre du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France), du consistoire, et ancien webmaster du site Internet « Comité français pour Yad Vashem », a été condamné vendredi à une peine de deux mois de prison avec sursis, pour proposition sexuelle à une mineure. Il avait été dénoncé après l’enquête de l’émission « Les infiltrés », sur France télévision.
Chérif Delay, fils de Myriam Badaoui et gendre de Thierry Delay – lourdement condamnés dans l’affaire d’Outreau – était l’invité exceptionnel de Bourdin Direct ce jeudi. Il livre sur RMC et BFMTV sa « vérité » de victime.
Novembre 2005. À la barre des témoins de la cour d’assises de Paris, un garçon de 15 ans subit les foudres des avocats de la défense. Traité de menteur, de mythomane, il est tétanisé et ne peut que chuchoter : » Je sais pas, je sais plus… « . Kevin Delay n’est-il pas le fils de Myriam Badaoui-Delay qui a accablé ses coaccusés avant de se rétracter, puis de revenir sur ses dénégations ? Le second procès d’Outreau bascule. Fait inouï, le procureur général Yves Bot présente, au nom de la Justice, ses excuses aux accusés, avant même que le jury se retire pour délibérer. La « storytelling » (selon l’expression de l’une des experts) est validée par le verdict d’acquittement général.Les victimes d’Outreau ?