Les réseaux pédophiles tels que les a révélés l’affaire Dutroux sont parfois patronnés par des sectes d’inspiration satanique. Elles se livrent sur les enfants que leur procurent des rabatteurs à des rituels sadiques qui peuvent aller jusqu’à la mise à mort. Ces horreurs ont été vécues par le jeune Samir, enlevé à Paris par la secte Kripten. Elles sont rapportées en détail dans un livre bouleversant, « L’enfant sacrifié à Satan », qui viens de paraître aux éditions Filipacchi. Le jeune Samir a entre-temps été entendu par la justice belge. Notre collaborateur Michel Peyrard a interviewé l’auteur du livre.
« Les 27, 28 et 29 janvier, devant la cour d’assises des Yvelines vont comparaître pour attentat à la pudeur sans violence sur des mineurs de quinze ans, Bernard Dejager, Jean-Claude Gallien et Jean Burckardt, qui arrêtés l’automne 1973 sont déjà restés plus de trois ans en détention provisoire. Seul Bernard Dejager a récemment bénéficie du principe de liberté des inculpés.
Une jeune fille, obsédée par le souvenir d’une mère tortionnaire, se réfugie dans des personnages « inventés » par son esprit malade. Une psychanalyste l’aide à assumer ses souvenirs et à retrouver sa véritable personnalité. Basé sur une histoire vraie.
François CHALAIS critique violemment le dernier film de l’écrivain cinéaste italien Pier Paolo PASOLINI « Salo ou les 120 journées de Sodome ». Images d’archive INA
Institut National de l’Audiovisuel
« Bonjour, tout est prêt, tout est prêt selon vos désir.
Faibles créatures enchainées, destinées à notre plaisir. J’espère que vous ne vous attendez pas à trouver la liberté ridicule que vous concède le monde extérieur. Ici vous êtes hors des limites de toute légalité. personne ne sait que vous êtes ici. Pour le monde, vous êtes déjà morts. Écoutez maintenant le règlement qui régira votre vie. (…) »
Titre d’origine: « Salò o le 120 giornate di Sodoma »
Durant la République fasciste de Salo, quatre seigneurs élaborent un règlement pervers auquel ils vont se conformer. Ils sélectionnent huit représentants des deux sexes qui deviendront les victimes de leurs pratiques les plus dégradantes. Tous s’enferment alors dans une villa près de Marzabotto afin d’y passer 120 journées en respectant les règles de leur code terrifiant.
L’assassinat de deux adeptes de la secte « Les Enfants de Dieu » relance la suspicion sur la communauté. Reportage sur la vie des adeptes et leur succès en tant que chanteurs, avec interview de Gédéon, responsable du mouvement en France.
Dans les années septante, Daniel Cohn bendit vit à Francfort et travaille dans une crèche alternative. Dans l’émission de la TSR « Destins » en 1975, il tiens des propos plus qu’ambiguës sur ses rapports avec les enfants:
En septembre 1975, Bernard Pivot l’invite pour la première fois dans son émission Apostrophes, l’année même de la création de celle-ci, pour son livre Les moins de seize ans. Au cours de cette émission, une enseignante qui venait de fonder une association pour la défense des droits de l’enfant, Jeanne Delais, conteste fermement les thèses de Matzneff (tout en s’efforçant de préserver l’amour-propre d’écrivain de ce dernier).
En Irak, le Père Merrin est profondément troublé par la découverte d’une figurine du démon Pazuzu et les visions macabres qui s’ensuivent. Parallèlement, à Washington, la maison de l’actrice Chris MacNeil est troublée par des phénomènes étranges : celle-ci est réveillée par des grattements mystérieux provenant du grenier, tandis que sa fille Regan se plaint que son lit bouge. Quelques jours plus tard, une réception organisée par Chris est troublée par l’arrivée de Regan, qui profère des menaces de mort à l’encontre du réalisateur Burke Dennings. Les crises se font de plus en plus fréquentes. En proie à des spasmes violents, l’adolescente devient méconnaissable. Chris fait appel à un exorciste. L’Église autorise le Père Damien Karras à officier en compagnie du Père Merrin. Une dramatique épreuve de force s’engage alors pour libérer Regan.
Au XXIème siècle, où règnent la violence et le sexe, Alex, jeune chef de bande, exerce avec sadisme une terreur aveugle. Après son emprisonnement, des psychanalystes l’emploient comme cobaye dans des expériences destinées à juguler la criminalité…