Titre d’origine: « Kubrick & The Illuminati – Don’t you want to go where the rainbow ends? »
A l’occasion de son anniversaire -Stanley Kubrick aurait eu 85 ans le 26 juillet dernier-, un joli cadeau a fait son apparition sur la toile pour tous les fans du maître Kubrick : un documentaire de 30 minutes tentant de percer les secrets d’Eyes Wide Shut. Baptisé Kubrick & The Illuminati et sous-titré « Don’t you want to go where the rainbow ends? », le film, illustré avec de nombreux extraits de films de Kubrick et autres (Nolan, Polanski, Spielberg), développe plusieurs pistes, notamment liées à la scientologie, la pédophilie, la symbolique maçonnique, et aux théories du complot (d’où le titre faisant référence à l’Illuminati). Gasface (Mathieu Rochet et Nicolas Venancio), à l’origine de ce documentaire, s’appuie sur l’analyse du scénariste et critique Laurent Vachaud, auteur de l’article Le secret de la pyramide, publié dans la revue Positif en janvier dernier. Michel Ciment participe également au film.
Des rituels sataniques organisés par des banquiers US se tiendraient régulièrement à Denver, d’après un certain Stew Webb, qui a été marié à une femme de ce sérail, et qui a enquêté sur le sujet auprès de nombreuses sources des renseignements. Il a d’ailleurs alerté les autorités qu’un nouveau né allait être kidnappé en juin 2013, mais cela n’a eu aucun effet.
Dans mon enquête de deux ans sur « Retour à Outreau » (éditions KontreKulture), j’ai évité d’aborder la question maçonnique pour ne pas « polluer » mon principal objectif : la défense des enfants français violés et désormais privés de parole quand ils ne sont pas traités de menteurs ou mêle remis à leurs prédateurs par certains juges.
Depuis quelques semaines, le nom de Ronite Bitton est de plus en plus en connu, de même que le combat qu’elle mène pour son fils. Ronite est née à Rehovot. Lorsqu’elle a un an, ses parents s’installent dans la banlieue parisienne. Vivant dans un monde qu’elle décrit comme laïc, elle commence des études qui la mènent à Bruxelles dans le milieu européen. Elle y rencontre son futur mari, juriste et journaliste belge. Il devient son prince charmant… Mais le conte de fées ne dure pas : une fois mariée et enceinte, les violences psychologiques, les humiliations commencent. S’ensuivent trois années de violence contre elle et son enfant. Depuis plus de dix ans maintenant, elle va de procès en procès faits d’avancées et de retours en arrière, soumise à un véritable harcèlement juridique de la part de son ex-mari, avec au centre leur fils de 15 ans aujourd’hui. Le 22 juillet prochain Ronite sera emprisonnée pour cinq ans, condamnée par la justice israélienne pour l’enlèvement de son propre enfant. Elle témoigne dans nos colonnes pour permettre de mieux comprendre son histoire et nous dire ce qu’elle attend de nous Francophones d’Israël.
Synthèse des 4 conférences de Jacques Thomet en région PACA 2013 (Aubagne, Toulon, Nice, Marseille).
Présentation de son livre: "Retour à Outreau - Contre-enquête sur une manipulation pédocriminelle."