Archives de catégorie : Jacques Thomet.com

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(Jacques Thomet & CIDE) Mises au point de Jacques Thomet sur l’arrestation de Priscilla Majani et de sa fille Camille, en fuite depuis 11 ans

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17 mars 2022 , Jacques Thomet pour le CIDE :

L’enlèvement de Camille Chauvet par sa mère : leur version contredit celle du père (Jacques Thomet – Délégué du CIDE) Un nouveau coup de théâtre vient d’éclater dans l’affaire Camille Chauvet, cette fillette française de 5 ans enlevée par sa mère Priscilla il y a 11 ans près de Toulon, et retrouvée lors de la récente arrestation en Suisse de la maman, ingénieure et officier de l’armée française. Le Comité international pour la dignité de l’enfant (CIDE-Lausanne) a eu accès à plusieurs sources concordantes sur les faits dénoncés par Priscilla et Camille, qui contredisent la version du père, Alain Chauvet. Face aux dénégations du père, accusé par la mère et Camille d’inceste sur la petite, Priscilla a maintenu ses dires devant ces sources, de même que la fillette, et relaté les dysfonctionnements, selon sa version, de la justice française dans ce dossier. Le CIDE a jugé utile d’en faire état face au déchaînement médiatique contre Priscilla à partir de la seule et unique version d’Alain Chauvet sur ce qu’il a qualifié de « mensonges ». En 2011, Camille fait l’objet d’une garde alternée chez les deux parents, en instance de divorce. Le 5 janvier, au retour de chez son père, la fillette révèle à sa mère les violences sexuelles qu’elle aurait subies, avec des détails qu’un enfant de cet âge ne peut pas inventer. Priscilla fait alors un signalement au commissariat de police à Hyères (Var). Les 6 et 7 janvier, Camille est auditionnée à deux reprises en audiovisuel (procédure dite Mélanie) par les policiers et confirme ses dires. Le 7 au soir, l’officier en charge du dossier, mandaté verbalement, selon lui, par le substitut du procureur, annonce à Priscilla qu’elle peut garder sa fille face à ce contexte. Mais jamais la mère n’obtiendra copie de cette décision malgré ses demandes réitérées. Le 17 janvier, Camille se confie soudain devant sa mère et sa grand-mère, et révèle d’autres atrocités sexuelles commises par le père selon elle. Priscilla, « effondrée » selon ses propres mots, porte alors plainte devant la police dès le lendemain. Le 21 janvier, l’officier de police déjà cité annonce à Priscilla un classement sans suite par le juge, les faits « n’ayant pas été établis » après l’audition du père, à qui elle est sommée de rendre l’enfant le soir même. Sur le conseil de son avocate, la mère exige une décision écrite du juge, et garde son enfant. Elle n’a jamais reçu ce document, affirme-t-elle. Le 24 février, raconte-t-elle, « deux policiers sautent par- dessus la porte de mon jardin, tapent à la porte et menacent de l’enfoncer si je n’ouvre pas ». Son avocate, contactée, lui conseille d’ouvrir, les policiers ayant indiqué qu’il s’agissait d’une audition. Conduite au commissariat, elle est mise en garde à vue. « On me prend mes empreintes digitales, y compris des paumes, s’étonne-t-elle, mon ADN, et je me retrouve en cellule. Menottée, les policiers me conduisent alors en voiture à vive allure, gyrophares allumés, chez une psychiatre. Celle-ci, désagréable, met la faute sur moi. Je suis reconduite au poste, et j’y passe la nuit en cellule sans couverture. Le lendemain matin, un policier en colère m’annonce que ma mère a disparu avec Camille et qu’elle va être poursuivie pour enlèvement d’enfant. Or j’avais toujours officiellement la garde de ma fille. « Conduite menottée au tribunal de Toulon, je suis reçue par le substitut du procureur, qui m’ordonne une obligation de soins et la remise de Camille à son père. La juge des libertés et de la détention (JLD) me confirme ces instructions et me convoque à une audience au tribunal le 29 mars pour « non présentation d’enfant ». « Libérée sous contrôle judiciaire, j’en conclus à de sérieux problèmes dans l’appareil judiciaire du Var, et je me dois de protéger ma fille. C’est ainsi que je me suis retrouvée avec elle dans la clandestinité, au détriment de ma carrière dans l’armée, sans ressources, mais dans l’attente d’autorités intègres qui fassent leur travail de façon responsable ». Priscilla est actuellement détenue dans une prison près de Lausanne, et sa fille placée dans un foyer. Une réunion est prévue ce vendredi 18 mars entre les avocats des deux parties avec un juge de paix, à Morges, près de Lausanne. 18 mars 2022 – Jacques Thomet, article indépendant : Affaire Camille Chauvet: le père s’en prend à la Suisse (mes articles sur ce Facebook personnel n’engagent que moi et sont totalement indépendants de mes fonctions au CIDE de Lausanne) Avant sa confrontation ce matin à Morges (Suisse), devant un juge de paix, avec son ex-épouse Priscilla, détenue près de Lausanne depuis son arrestation en février, Alain Chauvet, le père de la jeune Camille enlevée il y a 11 ans par sa mère et retrouvée avec elle, a mis en cause les autorités helvétiques. « Je suis face à un État étranger qui m’empêche de voir ma fille », a-t-il déclaré à la presse. La réunion entre les parties, accompagnées de leurs avocats, s’est ouverte à 9h30 et n’était toujours pas achevée à 12h30. Article de La Tribune de Genève :  

https://www.tdg.ch/le-sort-de-la-jeune-fille-entre-les-mains-de-la-justice-de-paix-506731178982

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(Jacques.Thomet.com) Outreau (4): le journal Le Monde à la dérive

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jacques-thometLa confraternité exclut la complicité face à notre déontologie de journalistes. C’est pourquoi je signale pour les regretter les manquements à ce principe du quotidien Le Monde dans la nouvelle affaire Lavier. J’en dénombre trois:

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(Jacques Thomet.com) Outreau: levez-vous, enfants victimes de cette barbarie, et prenez la parole, comme la fille mineure de Franck Lavier !

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jacques-thometVous avez été plus de soixante enfants cités comme victimes présumées de viols dans les 30.000 pages du dossier judiciaire à Outreau.
Seuls 12 d’entre vous ont été reconnus comme telles et indemnisés
aux assises en 2005.
La jeune C., 16 ans, a osé parler. Son père, Franck Lavier, a été mis en examen pour viol, agressions sexuelles, et laissé en liberté sous contrôle judiciaire, mais avec interdiction de retourner au domicile familial.
Vos silences jusqu’ici s’expliquent : la peur, la honte, les menaces, l’amnésie post-traumatique, toutes les victimes les éprouvent à des degrés divers. Elles forment un mur entre vos blessures indélébiles et l’envie de les révéler à la face d’un monde qui vous semble indifférent.
Mais non, vous n’êtes pas seuls ! C. a ouvert la voie, il ne tient qu’à vous de vous y engouffrer pour faire sauter le barrage qui retient les immondices dans le cloaque du silence.
Vos prédateurs ont peur, sachez-le, et ceux qui les défendent tremblent.
Nous seront de plus en plus nombreux à vous soutenir.
Un autre victime va bientôt sauter le pas et imiter C., selon mes informations. Je ne puis en dire plus pour d’évidentes raisons.
Levez-vous en masse, et faites sortir la vérité de son puits !.

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Jacques Thomet.com Outreau : voici la preuve que 12 enfants avaient bien été victimes de viols et indemnisés après les procès

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Lettre du Président du Tribunal de Boulogne sur mer

Comme certains mauvais esprits (c’est un euphémisme) mettent en doute sur le net et facebook l’existence de 12 enfants violés et indemnisés après les procès d’Outreau en 2004 et 2005 (Saint-Omer puis Paris), je vous livre ci-joint le document officiel qui en fait état.

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Jacques Thomet.com Outreau et le journal Le Monde: « Comme d’habitude » revu par mes soins

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Je vous livre mon adaptation satirique du tube de Claude François, dédiée à Florence Aubenas et Lucie Soullier après leur article « Outreau : trois semaines dans l’ombre des révisionnistes » dans le Monde de ce samedi.

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Jacques Thomet.com Outreau : le Tchernobyl pédophile qui frappe la Grande-Bretagne éviterait la France …

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Un double coup de théâtre identique à celui de Paris en 2005 dans la même affaire d’Outreau a secoué les assises des mineurs à Rennes jeudi, avec les réquisitions de l’avocat général demandant l’acquittement de Daniel Legrand fils, accusé de viol présumé sur les enfants Delay, et la décision des avocats de la défense de ne pas plaider après cette invocation de son « innocence ».

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Jacques Thomet.com Outreau 3 (Jour 11) « l’arbitraire » du ministère public dénoncé par les avocats des enfants violés au procès Legrand fils

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Un virulente attaque a été lancée mercredi aux assises de Rennes contre le ministère public, accusé par les avocats de la partie civile « d’arbitraire, de destruction de l’Etat de droit », et d’être « sorti de la route » dans sa conduite du procès Daniel Legrand fils dans le dossier Outreau.

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Jacques Thomet.com Outreau 3 (Jour 10) Le taxi Martel, l’un des acquittés, a été convaincu de mensonge au procès Legrand fils

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Un coup de théâtre a mis fin mardi à l’audience délétère du procès Daniel Legrand fils, avec un ministère public oeuvrant à décharge, grâce à la preuve apportée par la partie civile sur un mensonge du taxi Pierre Martel, l’un des 13 acquittés, à propos de l’accusé.

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Jacques Thomet.com Oui, je suis un « contestataire » d’Outreau-Lettre ouverte à Hubert Delarue, avocat du fils Daniel Legrand

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Monsieur,

Dans un tweet, vous me traitez « d’imposteur révisionniste » à propos de ma lutte en faveur de la vérité dans les procès d’Outreau, avant le procès de votre client, Daniel Legrand fils, devant les assises des mineurs à Rennes le 18 mai.
Je ne m’abaisserai pas à jouer dans votre basse-Cour, avec le facile dicton sur « la bave du crapaud etc… ». Non, je préfère vous remercier pour la publicité gratuite que vous faites ainsi à mon livre « Retour à Outreau-Contre-enquête sur une manipulation pédocriminelle ».
Oui, je suis un « contestataire » de cette abominable machination, et non pas un « révisionniste ». Je vous somme de cesser d’utiliser à mon égard ce terme réservé à ceux qui nient l’extermination massive des juifs par les nazis. Quant aux vrais imposteurs, ils se trouvent dans votre camp, celui des avocats de la défense, avec derrière eux la tache indélébile de leur atroce conduite en audience face aux enfants violés. Vous oubliez que douze d’entre ces petites victimes, reléguées dans le box des accusés ( !) aux assises de Douai en 2004, ont été reconnues comme telles et indemnisées par l’Etat. C’est pour elles et contre les mensonges que j’ai mené ce combat.
La peur vous étreint avant ce nouveau procès, et vous perdez votre sang-froid. Si j’étais un imposteur, il fallait me poursuivre en diffamation en 2013 dans les trois mois après la publication de mon enquête. Mais vous n’avez pas osé. Pourquoi donc, si ces deux ans de travail constituaient une « imposture » ? Et demandez à vos deux collègues, Eric Dupond-Moretti et Frank Berton, pourquoi ils ont décliné ma demande d’interview avant l’édition de mon livre.

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Jacques Thomet.com Exclusif/ Outreau : la Cour européenne des droits de l’homme saisie pour faire condamner la France pour « procès inéquitable »

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A une semaine du procès du fils Daniel Legrand devant la cour d’assises des mineurs à Rennes pour des viols présumés, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) à Strasbourg étudie une requête de partie civile visant à faire condamner la France pour « procès inéquitable » lors des assises en appel à Paris en 2005 sur les viols de mineurs commis à Outreau, selon des sources proches du dossier.

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Jacques Thomet.com Outreau: la scandaleuse émission d’Envoyé spécial sur le procès du fils Legrand

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Onze jours avant le nouveau procès du fils Legrand devant les Assises de Rennes (du 18 mai au 5 juin), une équipe de 4 journalistes a consacré sur France 2, chaîne du service public, une insupportable émission à sens unique pour défendre l’accusé, accuser le justice et démolir en une phrase le juge Fabrice Burgaud dans ce qui est qualifié de « fiasco d’Outreau »..

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Extrait du livre de Jacques Thomet, Retour à Outreau, contre-enquête sur une manipulation pédocriminelle, page 33 :

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 » Comme on le verra plus bas, Thierry Delay avait été condamné en 1993 pour nécrophilie, et plusieurs de ses enfants ont révélé avoir dû l’accompagner dans ses macabres expéditions funéraires dans les cimetières de Boulogne-sur-Mer « .

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