Archives de catégorie : Jacques Thomet

(Grain d'Sable) Retour d’expérience de trois journalistes face au sujet de la PÉDOCRIMINALITÉ… (Thomet, Dondevamos et Isa T.)

Merci par avance pour vos partages.
Quelques liens divers liés à cette vidéo :
Christophe Peschoux :

https://www.youtube.com/watch?v=QTmUNa_2TyQ&t=0s

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(Pedopolis) BÉBÉ VOLÉ : Le cas de Pegah Hosseini est celui de milliers de parents désenfantés

Comment peut-on enlever un enfant à sa mère ?

Une version longue de cette vidéo est en préparation, pour participer contactez-nous

Témoignage de Pegah Hosseini sur Europe 1 le 13 juin 2023 :
https://pedopolis.com/2023/06/13/bien-quil-ai-rapte-leur-fils-la-justice-donne-raison-a-lex-de-pegah/

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(Jacques Thomet) Scandale du bébé volé à la journaliste Pegah Hosseini : 3 articles de Jacques Thomet

Article du 17 mai 2023: Le supplice de Pegah Hosseini touche des myriades de mères désenfantées

Ce drame n’est que rarement médiatisé, dans un désintérêt criant de la presse et le silence sépulcral du pouvoir.
Comme le petit Leon remis à son géniteur pourtant mis en examen pour inceste, les deux fillettes d’Hanna Dam Stockholm emmenées par le père à Tahiti, Priscilla Majani toujours en prison pour avoir caché sa fille en Suisse, la petite Chloé égorgée par le père qui devait la rendre à sa mère, les cas sont légion en France de ces mamans en proie au désespoir.

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(Coup2point sur les i) Entretien avec Jacques Thomet et Me Florence Rouas : Outreau, inceste, pédocriminalité, pédophilie, viol d’enfants

Avec nos deux invités, Jacques THOMET, journaliste et essayiste, ancien rédacteur en chef à l’AFP, et Maître Florence ROUAS, Avocate pénaliste à l’antenne des mineurs du Barreau de Paris.

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(Jacques Thomet et Le Matin.ch) Affaire Camille Chauvet : Une autre femme accuse l’ex-mari de Priscilla Majani devant la justice

Cette nouvelle est un coup de tonnerre deux jours après la condamnation de Priscilla Majani à 2 ans et 9 mois de prison pour soustraction d’enfant sans aménagement de peine.

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(Jacques Thomet, RSI Live, Éva Darlan) Priscilla Majani condamnée en appel à 2 ans et 9 mois d’emprisonnement pour soustraction de mineure et non-représentation d’enfant

La prévenue devra verser 30 000 euros en réparation du préjudice moral.
Elle a été relaxée par contre de poursuites pour dénonciation calomnieuse contre son ex-mari Alain Chauvet par la Cour d’appel d’Aix-en-Provence.

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(Comité international pour la dignité de l’enfant & Jacques Thomet) CIDE : Priscilla Majani devrait être relaxée en appel mercredi d’après un spécialiste du droit pénal

C’est la conclusion d’un avis de droit fourni par une éminence française du droit pénal, Bernard Bouloc, à la demande du CIDE (Comité international pour la dignité de l’enfant), présidé par Georges Glatz à Lausanne. J’y suis consultant (Jacques Thomet). Voici le rapport complet de Bernard Bouloc: Objet: dossier MAJANI- cour d'appel d'Aix-en-Provence Paris, le 16 novembre 2022, Je soussigné, Bernard Bouloc, professeur de droit privé et de sciences criminelles à l'Ecole de droit de la Sorbonne (Université Paris 1), consulté par Me Guedj Benayoun, avocat au barreau de Toulouse, pour le compte de sa cliente, Madame Priscilla MAJANI, sur le fait de savoir si les deux jugements du tribunal correctionnel de Toulon du 16 septembre 2022 sont légalement fondés, émet l'avis suivant.

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(Jacques Thomet) Le président du Rugby club de Narbonne, mis en examen pour agressions sexuelles sur son fils de 8 ans, en a obtenu la garde malgré 24 témoignages de l’enfant

(Inutile de souligner le caractère explosif de ce dossier)

Personnalité dans le monde du rugby, ex-joueur professionnel à Narbonne, Montauban et Béziers, propriétaire de trois restaurants, Gilles Belzons a été mis en examen début juillet pour agressions sexuelles sur son fils Léon, 8 ans, mais l’information vient seulement d’être connue, une nouvelle fois grâce à France-Bleu. L’accusé avait bénéficié d’un classement sans suite fin 2020 après une première plainte de la mère, son ex-compagne, infirmière.

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(Jacques Thomet) Onze ans après leur fuite en Suisse, Camille soutient sa mère Priscilla Majani et accuse toujours son père

Dans une lette envoyée de Suisse où elle réside, et lue vendredi devant le tribunal de Toulon qui a condamné sa mère, Priscilla Majani, à 5 ans de prison fermes et 25.000 euros d’amende, sa fille Camille a rappelé les violences qu’elle affirme avoir subies de son père Alain Chauvet, et souligné que le jour de sa fuite en Suisse à l’âge de 5 ans avec sa mère en 2011 fut « le plus beau de sa vie ».
Son poignant témoignage n’a pas été pris en compte par la juge unique, qui a condamné la maman à ces peines pour non représentation d’enfant et dénonciation calomnieuse, sans laisser son avocate terminer sa plaidoirie en vertu d’une jurisprudence de 1951, et en refusant de parler dans le micro, ce qui rendait ses interventions pratiquement inaudibles. Le recours à un juge unique en correctionnelle est réservé aux délits mineurs, comme les excès de vitesse ou vols à l’étalage, ce qui n’était pas le cas ici.

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(Je défends mon enfant) Pédocriminalité : un moyen de briser l’omerta. (Version intégrale) Nombreux Témoignages

Merci à toutes ces mères qui osent témoigner de ce cauchemar judiciaire pour protéger leurs enfants d’inceste.
Et un grand bravo à tous ces enfants FORTS qui ont le courage de dénoncer ces crimes.

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(Jacques Thomet) Priscilla Majani, la mère de Camille Chauvet, en fuite depuis 11 ans pour un inceste paternel présumé, a été extradée de Suisse vers la France

Article de Jacques Thomet du 4 août 2022 :

La mère de Camille Chauvet, en fuite depuis 11 ans pour un inceste paternel présumé, a été extradée de Suisse vers la France Priscilla Majani, arrêtée en février en Suisse où elle avait fui depuis onze ans pour échapper à son mari Alain Chauvet, le père de leur fille qu’elle accusait d’inceste sur la petite alors âgée de cinq ans, a été extradée à Toulon (Var) mardi (officiel). Avant d’y être jugée pour soustraction de mineure, la mère de Camille va être entendue par un juge des libertés et de la détention à Toulon. Ingénieure et officier de l’armée française, Mme Majani avait tout abandonné en 2011 pour trouver refuge dans la région de Lausanne avec Camille, aujourd’hui âgée de 16 ans. La jeune fille, placée dans un foyer suisse, n’a pas été renvoyée à Toulon avec sa mère. Elle avait refusé de rencontrer son père lorsqu’il s’était rendu en Suisse en mars. Voici la version de la mère rapportée par mes sources : en 2011, Camille faisait l’objet d’une garde alternée chez les deux parents, en instance de divorce. Le 5 janvier, au retour de chez son père, la fillette révèle à sa mère les violences sexuelles qu’elle aurait subies, avec des détails qu’un enfant de cet âge ne peut pas inventer. Priscilla fait alors un signalement au commissariat de police à Hyères (Var). Les 6 et 7 janvier, Camille est auditionnée à deux reprises en audiovisuel (procédure dite Mélanie) par les policiers et confirme ses dires. Le 7 au soir, l’officier en charge du dossier, mandaté verbalement, selon lui, par le substitut du procureur, annonce à Priscilla qu’elle peut garder sa fille face à ce contexte. Mais jamais la mère n’obtiendra copie de cette décision malgré ses demandes réitérées. Le 17 janvier, Camille se confie soudain devant sa mère et sa grand-mère, et révèle d’autres atrocités sexuelles commises par le père selon elle. Priscilla, « effondrée » selon ses propres mots, porte alors plainte devant la police dès le lendemain. Le 21 janvier, l’officier de police déjà cité annonce à Priscilla un classement sans suite par le juge, les faits « n’ayant pas été établis » après l’audition du père, à qui elle est sommée de rendre l’enfant le soir même. Sur le conseil de son avocate, la mère exige une décision écrite du juge, et garde son enfant. Elle n’a jamais reçu ce document, affirme-t-elle. Le 24 février, raconte-t-elle, « deux policiers sautent par- dessus la porte de mon jardin, tapent à la porte et menacent de l’enfoncer si je n’ouvre pas ». Son avocate, contactée, lui conseille d’ouvrir, les policiers ayant indiqué qu’il s’agissait d’une audition. Conduite au commissariat, elle est mise en garde à vue. « On me prend mes empreintes digitales, y compris des paumes, s’étonne-t-elle, mon ADN, et je me retrouve en cellule. Menottée, les policiers me conduisent alors en voiture à vive allure, gyrophares allumés, chez une psychiatre. Celle-ci, désagréable, met la faute sur moi. Je suis reconduite au poste, et j’y passe la nuit en cellule sans couverture. Le lendemain matin, un policier en colère m’annonce que ma mère a disparu avec Camille et qu’elle va être poursuivie pour enlèvement d’enfant. Or j’avais toujours officiellement la garde de ma fille. « Conduite menottée au tribunal de Toulon, je suis reçue par le substitut du procureur, qui m’ordonne une obligation de soins et la remise de Camille à son père. La juge des libertés et de la détention (JLD) me confirme ces instructions et me convoque à une audience au tribunal le 29 mars pour « non présentation d’enfant ». « Libérée sous contrôle judiciaire, j’en conclus à de sérieux problèmes dans l’appareil judiciaire du Var, et je me dois de protéger ma fille. C’est ainsi que je me suis retrouvée avec elle dans la clandestinité, au détriment de ma carrière dans l’armée, sans ressources, mais dans l’attente d’autorités intègres qui fassent leur travail de façon responsable ».

 

Article de Jacques Thomet du 6 août 2022 :

Exclusif La mère de Camille Chauvet a été incarcérée à Marseille et sera jugée en septembre à Toulon Priscilla Majani, extradée mardi en France après son arrestation en Suisse où elle avait fui avec sa fille depuis onze ans pour échapper à son mari Alain Chauvet, qu’elle accusait d’inceste sur la petite alors âgée de cinq ans, a été incarcérée ce samedi soir à la prison des Baumettes (Marseille), selon une source sûre. Elle sera jugée le 16 septembre à Toulon (Var) pour soustraction de mineure et non-présentation d’enfant. Ces décisions ont été prises par le juge des libertés et de la détention (JLD) de Toulon. Après son extradition, elle avait passé quelques jours à la prison des femmes de Toulon. Selon la sœur de la détenue, qui a pu parler au téléphone avec Priscilla, la mère de Camille « n’a pas reçu de nourriture pendant son séjour à la prison de Toulon, et elle a faim », m’a affirmé la même source. Elle n’a plus d’avocat, faute de ressources. Ingénieure et officier de l’armée française, Mme Majani avait tout abandonné en 2011 pour trouver refuge dans la région de Lausanne avec Camille, aujourd’hui âgée de 16 ans. La jeune fille, placée dans un foyer suisse, n’a pas été renvoyée à Toulon avec sa mère. Elle avait refusé de rencontrer son père lorsqu’il s’était rendu en Suisse en mars. Camille ne sera pas extradée en France, selon mes informations, car la loi locale autorise un mineur de plus de 15 ans de rester en Suisse s’il le souhaite, à condition d’y avoir eu une vie sociale reconnue depuis au moins un an, ce qui est le cas.

Article de Jacques Thomet du 7 août 2022 :

L’adresse de Priscilla Majani à la prison de Marseille La mère de Camille Chauvet, dont j’ai publié le dossier dans mes précédents papiers, est détenue à la prison des Baumettes à Marseille dans l’attente de son procès à Toulon le 16 septembre. Voici son adresse pour ceux qui souhaitent la contacter:

Mme Priscilla Majani

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(CIDE, Comité international pour la dignité de l'enfant) Le patron de l’antiterrorisme dans les Ardennes relaxé pour viols sur mineure

Chef de la DGSI (direction générale de la sécurité intérieure) à Charleville, Olivier Combe n’a été condamné en appel cette semaine qu’à un an ferme et un avec sursis pour pédopornographie. Poursuivi pour le viol d’une mineure de confession musulmane qu’il était chargé de déradicaliser, il a été relaxé. Aucun des grands médias n’a fait état de cette information pourtant gravissime, sauf erreur de ma part. Cet ex-officier de 59 ans avait été relaxé des deux accusations en première instance en septembre 2021. Lors du procès en juin 2021, le ministère public avait réclamé 4 ans de prison ferme. En 2019, une jeune femme dépose plainte pour trois viols, dont elle aurait été victime au printemps 2016 en Ardennes. À l’époque des faits, la jeune femme âgée de 17 ans, qui se fait surnommer H. dans les médias français, venait de fuir le domicile familial après avoir répondu à une annonce matrimoniale pour épouser un islamiste, candidat au djihad en Syrie. C’est dans le cadre la lutte antiterroriste que H. rencontre Olivier Combe, l’agent de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI). Après plusieurs interrogatoires au sein des locaux de la DGSI, sa relation entre l’homme marié et père de deux enfants devient « ambiguë ». C’est alors que les viols auraient commencé. H. explique aux policiers qui ont pris sa plainte, qu’elle était sous son « emprise » et confie s’être sentie « obligée » malgré ses plaintes et ses « non » à répétitions. Suite à ces accusations, des investigations sont menées et mettent au jour deux autres relations sexuelles avec des jeunes femmes musulmanes, qui elles, auraient été consenties. L’agent de la DGSI avait alors immédiatement été « désarmé par sa hiérarchie » et « suspendu administrativement de ses fonctions », selon le procureur en charge du dossier. Pendant l’enquête, les équipiers d’Olivier Combe ont été entendus sous couvert d’anonymat. Dans leur déposition, on apprend que le cinquantenaire avait pour habitude d’interroger seul ses interlocutrices, dans son bureau de la lutte antiterroriste des Ardennes. Une pratique interdite par la DGSI. Aux prémices de ce scandale, l’ex-agent aurait confié à ses collègues : « Je ne vais pas vous faire un dessin, j’aurais dû garder mes mains dans mes poches ». (d’après « Oh my Mag ») Jacques Thomet Suite ...