Article du 17 mai 2023: Le supplice de Pegah Hosseini touche des myriades de mères désenfantées
Ce drame n’est que rarement médiatisé, dans un désintérêt criant de la presse et le silence sépulcral du pouvoir.
Comme le petit Leon remis à son géniteur pourtant mis en examen pour inceste, les deux fillettes d’Hanna Dam Stockholm emmenées par le père à Tahiti, Priscilla Majani toujours en prison pour avoir caché sa fille en Suisse, la petite Chloé égorgée par le père qui devait la rendre à sa mère, les cas sont légion en France de ces mamans en proie au désespoir.
SOS : on m’a enlevé mon bébé !
La justice, l’aide sociale à l’enfance et le père m’ont volé mon bébé !
J’en appelle à votre soutien face au supplice que je vis depuis 5 ans maintenant, comme tant d’autres mères de famille. Quand mon bébé avait 6 mois, une juge aux affaires familiales l’a arraché à mon sein pour en donner la garde exclusive à son père que j’avais dénoncé pour violences conjugales. L’étrange justification de cette juge était: « le bébé a ses repères chez le père »
En 2016 je rencontre celui avec qui j’aurais un petit garçon, C. qui naît en Mars 2018.
À la suite de violences conjugales je quitte cet homme et retrouve ma famille dans le Nord de la France. J’avais quitté ma région pour Monsieur… Mais en Juillet 2018, C. âgé de 4 mois à peine, m’est enlevé par son père lors d’une consultation à l’hôpital d’où il s’enfuit en courant! Malgré la violence de la scène, personne ne peut rien faire car pas de jugement statuant sur la garde de C. . 4 jours plus tard, alors que j’attendais devant le domicile de Mr, je le vois sortir et le supplie de me rendre mon bébé, ce qu’il refuse et part en courant avec mon bébé dans les bras!! Voyant sa petite tête secouée, je hurle -ce qui alerte les passants qui interviennent. Mr chute avec le bébé, qui sera gardé 10 jours en observation par l’Unité Hospitalière de l’Enfance en Danger (UHED) de Toulouse.
Avant sa sortie, cette même unité me faisait signer un document fixant la résidence de C. chez son père, à Toulouse et m’obligeant à repartir vivre chez lui.
Le père a saisi le JAF de Toulouse après l’enlèvement de C. en Juillet 2018, l’audience a eu lieu le 5 septembre.
En septembre dernier, cette mère de famille s’est vue retirer la garde de son nourrisson par la justice toulousaine. Une décision qui faisait suite à une séparation d’avec le père de l’enfant : un influent chirurgien toulousain.
Des dysfonctionnements ont-ils abouti à séparer Pegah Hosseini de son fils ?
Tous les pédopsychiatres et spécialistes de la petite enfance insistent : on ne doit jamais séparer un bébé de sa mère. C’est pourtant ce qu’il s’est passé pour Pegah Hosseini. Une série de dysfonctionnements ont-ils abouti à séparer C., né en mars 2018 et sa mère ? Cette mère de famille est tombée amoureuse d’un chirurgien plasticien toulousain reconnu et influent. De cette union est né C. Mais dès le début de la grossesse le couple ne s’entend plus, les disputes et les conflits (parfois violents) sont permanents, jusqu’au paroxysme, à Toulouse en juillet dernier.
Anna (Pegah ndlr) vit une histoire d’amour un peu incertaine avec un homme. Il la convainc de faire un enfant. Peu à peu, l’emprise se resserre. Aujourd’hui, la jeune maman est séparée de son bébé de 9 mois par décision de justice.
Nouvelle version de la « Carte des événements à venir » (procès, rassemblements, conférences) interactive, qui mentionne dorénavant aussi les affaires en cours de parent(s) protecteur(s) qui se battent pour sauver leur(s) enfant(s).