« Pour le droit de nos enfants à avoir un avenir sans inceste, sans violence, sans être tabassés. »
Pour la résistance à la violence faite aux enfants par le refus d’appliquer la loi devenue inférieure aux décisions de justice française.
« Pour le droit de nos enfants à avoir un avenir sans inceste, sans violence, sans être tabassés. »
Pour la résistance à la violence faite aux enfants par le refus d’appliquer la loi devenue inférieure aux décisions de justice française.
Partie 1 : Alors être avocate comme Vanessa et se retrouver victime du placement de son enfant tout en sachant utiliser le droit pour se défendre démontre bien la turpitude, le machiavélisme, de la justice dans le monde des enfants !
le jour viendra ou le peuple rendra la justice envers la perversité du système.
alors en attendant partager le temoignage de cette avocate . merci
Source / Émission intégrale d’Europe 1 (« Bien qu’il ai rapté leur fils, la justice donne raison à l’ex de Pegah ») : https://pedopolis.com/2023/06/13/bien-quil-ai-rapte-leur-fils-la-justice-donne-raison-a-lex-de-pegah/
Si le lecteur ne fonctionne pas, RDV directement sur le replay d’Europe 1 :
Cette femme de 30 ans aurait été victime de plusieurs coups d’une arme artisanale ressemblant à une lance. L’assistante sociale est toujours en « état de choc » mais ses nouvelles sont « rassurantes »
Un homme a blessé à l’arme blanche une assistante sociale impliquée dans le dossier de placement de son enfant jeudi à Brive en Corrèze, ont annoncé les autorités, qui évoquent une victime « en état de choc » mais des nouvelles « rassurantes ». Selon le parquet, cette travailleuse sociale du service du placement familial, âgée de 30 ans, a reçu plusieurs coups provenant d’une arme artisanale pouvant être associée à « une lance », alors qu’elle débutait sa journée de travail.
Vous pouvez contacter Lucie via FB : https://www.facebook.com/lucie.coutrey
Lire l’article : https://vk.com/@-202827970-affaire-lucie-coutrey
Clip du 5 juin 2023: « Delphine, une maman au ciel (Hommage) »(3 min36)
J’ai (Sylvain) fourni les photos de Delphine à Christophe, qui a fait ce montage avec une chanson très émouvante. Delphine tu est une maman courage et je ne t’oublierai jamais.
Compte Youtube de Delphine … Repose en Paix
https://www.youtube.com/@aseservicessociauxraptsdenfant
Voir aussi : Les 10 Commandements de l’ASE (vidéo du 22 mai 2023):
Tribunal correctionnel de Saint-Nazaire, 77 rue Albert de Mun, le 2 juin à 14h.
Son témoignage chez Morpheus Ethica le 7 mars 2023 :
Voila encore un témoignage de la souffrance d une maman. Ici c est Lucie Maman de Yaell qui expose ce qu’ elle endure depuis quelques années.
Il faut donc continuer de donner la parole à des mamans , il faut continuer de faire comprendre les dysfonctionnements de la justice et des services sociaux. Si l’enfant n’était pas devenu un objet faisant tourner l’argent la France aurait toujours l image symbolique des droits de l’homme mais cela n’est plus la réalité.
Partie 1 sur 2: « Placement illégal. Instruction criminelle en cours contre le géniteur. Mais c’est moi qui suis surveillée en permanence. »
Article du 17 mai 2023: Le supplice de Pegah Hosseini touche des myriades de mères désenfantées
Ce drame n’est que rarement médiatisé, dans un désintérêt criant de la presse et le silence sépulcral du pouvoir.
Comme le petit Leon remis à son géniteur pourtant mis en examen pour inceste, les deux fillettes d’Hanna Dam Stockholm emmenées par le père à Tahiti, Priscilla Majani toujours en prison pour avoir caché sa fille en Suisse, la petite Chloé égorgée par le père qui devait la rendre à sa mère, les cas sont légion en France de ces mamans en proie au désespoir.
SOS : on m’a enlevé mon bébé !
La justice, l’aide sociale à l’enfance et le père m’ont volé mon bébé !
J’en appelle à votre soutien face au supplice que je vis depuis 5 ans maintenant, comme tant d’autres mères de famille. Quand mon bébé avait 6 mois, une juge aux affaires familiales l’a arraché à mon sein pour en donner la garde exclusive à son père que j’avais dénoncé pour violences conjugales. L’étrange justification de cette juge était: « le bébé a ses repères chez le père »