SOS : on m’a enlevé mon bébé !
La justice, l’aide sociale à l’enfance et le père m’ont volé mon bébé !
J’en appelle à votre soutien face au supplice que je vis depuis 5 ans maintenant, comme tant d’autres mères de famille. Quand mon bébé avait 6 mois, une juge aux affaires familiales l’a arraché à mon sein pour en donner la garde exclusive à son père que j’avais dénoncé pour violences conjugales. L’étrange justification de cette juge était: « le bébé a ses repères chez le père »
L’ancien maire d’Échenon, Dominique Lott, a été condamné mardi à un an d’emprisonnement, avec une obligation de soins. Il avait été interpellé lors d’un vaste coup de filet en novembre.
Les faits rien que les faits
Une polémique est née l’année dernière suite à l’affaire du placement des bébés de Vitré.
Dans cette affaire nous devons d’abord rechercher les faits.
Malgré un droit de garde officiel, certaines femmes refusent de confier leurs enfants à leurs ex-conjoint qu’elles accusent de violences sexuelles. La justice a un mot pour cela : « la soustraction d’enfant ». Et bien souvent, au terme d’un ping pong de procédures entre les juges des affaires familiales et les assises, ce sont les parents protecteurs, devenus hors la loi, et les enfants, qui trinquent.
Christine Cerrada, avocat à la cour et avocat référent de l’association L’enfance au cœur (qui œuvre pour la protection de l’enfance notamment en cas de placements abusifs), est avec nous pour répondre à nos questions sur les placements abusifs.
C’est une histoire de maltraitance d’enfants, de maltraitance du personnel, de licenciements abusifs. Une histoire qui débute avec les lanceurs d’alerte d’une association de protection de l’enfance. Ces lanceurs d’alerte nous ont fait parvenir une centaine de documents, nous permettant en plus des révélations de maltraitance, de pointer une problématique d’opacité financière, sur soupçon de détournement de fonds publics, et enfin de démontrer qu’un responsable haut placé avait touché près de 40 000€ d’astreintes fictives avant de devenir patron… des restos du cœur.
En France, l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE) a pour mission de placer chaque année cent-soixante-dix mille enfants en danger. L’objectif est de les protéger et de les faire grandir en toute sécurité.
Audience le 12 juillet à 14h au tribunal du Puy en Velay en Haute-Loire dans le 43 car je suis attaquée en diffamation par l’association Entraide Union qui gérait le placement de ma fille.
Les témoignages pleuvent sur internet et les réseaux sociaux. De plus en plus de parents partagent leur expérience désastreuse avec l’ASE (l’Aide Sociale à l’Enfance).
Lien direct vers la vidéo sur Youtube : https://youtu.be/WgAxUAu87Vk
Vidéo n°1 le 20 avril 2022 avec le Dr Guillot Dominique : https://www.facebook.com/luanda.vitto.9/posts/pfbid02ow2wCrSrR6QKLRsXVSkoD7iT5749eqsWxq4Mtrno7S35b8Cp9ZLcGsAfqfqGkCWfl
Des enfants sont enlevés de leur famille de manière abusive, voire violente par le système socio-judiciaire.
Victimes, collectifs de familles sonnons l’alerte.
L’avocate Marie Grimaud ose parler des racailles du haut : « Ce qui est moins révélé aux yeux du public, mais qui reste une réalité, est celle de ces réseaux dans les plus hautes sphères financières, politiques et autre, de notre pays »
