Aicha, jeune fille saoudienne avocate du mariage « jihadiste », témoigne!
De retour dans son pays natale l’Arabie saoudite, et ce au bout de trois mois de séjour en Syrie, Aicha al-Bokra adolescente de 15 ans, dit avoir été trompée par la fatwa du gourou salafo wahhabite Al Arifi.
Un rapport sur l’égalité entre filles et garçons remis à Vincent Peillon demande que « les stéréotypes de genre soient déconstruits et mis à distance », notamment en primaire. Le gouvernement fait du dossier une priorité.
Le procès a été renvoyé en l’absence de la partie civile. À l’audience, le père des victimes a tenu des propos sidérants.
« Je ne veux pas l’envoyer en prison pour des choses aussi insignifiantes… ». Hier après-midi, dans le prétoire de la correctionnelle, il a fallu se pincer après avoir entendu les propos du père des deux victimes à l’endroit de son beau-frère. Qui, mardi vers 14 h, dans une rame de la ligne 3 du tramway, a sexuellement agressé, en état d’ivresse, ses neveux âgés de 3 ans et 5 ans.
On va revenir sur deux affaires de réseaux pédophiles, passées fort discrètement il y a quelques années bien qu’elles révèlent d’intéressantes connexions. Jean-Marc Smadja a été condamné à 8 ans de prison ferme, avec une dizaine de complices dont Michel Albenque, une sorte de parrain pédocriminel qui se faisait appeler « tonton Mimi ». Le procès de ce réseau « pédophile » a débuté en septembre 2002 et bizarrement, on n’en a pas beaucoup parlé. C’était (soi-disant) le premier procès d’un réseau pédophile en France. Et presque le dernier, puisqu’Outreau s’est déroulé à la même époque. Dans la foulée, c’est Robert Mégel qui est condamné pour pédophilie dans le centre pour délinquants qu’il dirigeait. Un centre géré par du beau monde, qui n’a « rien vu, rien entendu » pendant des années.
L’individu a été arrêté en sortant d’un tramway de la ligne 3, devant la gare. (ARCHIVES JEAN-MICHEL MART)
Un individu soupçonné d’agressions sexuelles dans le tramway, a été interpellé mardi après-midi vers 14 h. Il s’en est pris à ses deux neveux âgés de 3 et 5 ans. Il affirme que c’est « une coutume dans son pays ».
L’histoire incroyable de Corinne Gouget, auteure du guide « Additifs alimentaires : danger », qui s’est fait enlever ses deux filles à cause de son combat pour dénoncer les additifs alimentaires et en particulier l’aspartame et le glutamate monosodique.
L’enquête sur la disparition, en mai dernier, de cette fillette âgée de 5 ans piétine. De nombreuses pistes ont pourtant déjà été suivies par les enquêteurs, sans succès.