Alexis Cossette-Trudel et Ken Pereira relient les points et démontrent qu’une tonne d’évidences tendent à prouver qu’il existe une très forte relation entre l’état profond et des cercles pédophiles.
Selon les données rendues publiques par le département informatique du Palais de Westminster, il y a eu près de 700 tentatives par jour d’accès à des sites pornographiques depuis le parlement britannique en 2015.
Un nouveau lot de documents relatifs à une affaire de sévices présumés sur des enfants, par des membres du gouvernement britannique révèle que l’enquête s’était arrêtée sur la seule déclaration d’un parlementaire.
It’s shaping up to be the biggest political scandal in Britain’s history. There is new evidence that some of the country’s most respected men were in fact depraved paedophiles. Leaders that were preying on children as young as eight and nine. Many of the kids were trafficked from state-run homes and other institutions to be abused by MPs, Lords, and spies. They were protected from on high by a secret code, and have never been held to account for their horrific crimes. 60 Minutes investigates the scandal and the cover up, speaks to the victims and the witnesses, and confronts a member of the notorious paedophile information exchange. Reporter Ross Coulthart also reveals how children were killed in order to protect this network of predators – and how the driver to the Australian High Commissioner could hold the key to blowing this case wide open.
Le procès d’Outreau m’a un peu monopolisée, je propose donc une séance de rattrapage sur l’Angleterre.
On était ces derniers temps à parler de meurtres d’enfants commis par le réseau pédophile de Westminster, un réseau londonien VIP dans lequel on retrouvait plusieurs politiciens et qui était actif au moins dans les années 70 et 80. On a aussi appris que la police travaillait sur une liste de plus de 1.400 pédophiles, dont un nombre impressionnant de politiciens et de gens du show biz. Des victimes tentent encore de se battre pour mettre à jour certains réseaux, et sans elles il ne se passerait strictement rien.
Au Royaume-Uni, suite aux révélations sur un scandale d’abus sexuels à Westminster, la ministre de l’Intérieur Theresa May promet la « transparence maximale ». Un grand déballage public pourrait s’en suivre.
Le Parlement est ébranlé par des accusations de pédophilie qui visent plusieurs députés et anciens élus, et mettent au jour un réseau en place depuis les années 1970
Le réseau pédophile d’élite en Angleterre n’est hélas pas un mythe. Dans les années 80, on a entendu parler d’un réseau pédophile installé par le MI6 au Kincora Boys Home, à Belfast. Peu après, ce sont les orphelinats du Pays de Galles qui ont fait parler d’eux. ¨Puis ceux de Londres, d‘Ecosse, et finalement c’est Jimmy Savile qui est tombé. Aujourd’hui, les grandes manœuvres continuent afin d’étouffer le plus gros du scandale : l’implication de la famille royale dans ce réseau pédophile. On va donc parler de satanisme, de pédocriminalité, et d’une sombre affaire de cérémonie qui a mal tourné dans le sud de la France.