Soupçonné de comportements licencieux avec de jeunes hommes, Cyril L. est un militant communautariste, dont le festival “ Chéries-Chéris ” est subventionné par la mairie de Paris. Enquête.
Titre ‘origine : « Rapt parental de la petite Camille dans le Var: la grand-mère et la tante jugées coupables en appel »
Alors que la fillette est introuvable depuis bientôt huit ans, des proches de sa mère en cavale ont été reconnues coupables de complicité de “soustraction d’enfant”.
L’UNICEF représente le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF). Sa mission est de «répondre aux besoins des enfants et des femmes des pays en développement». Apparemment, une autre mission est d’organiser des bals masqués effrayants mettant en vedette des célébrités vêtues de costumes sataniques.
« Une méthode que la sociologue Claudia Igney nomme le « Contrôle Mental », c’est à dire provoquer volontairement le fractionnement de la personnalité. Les experts connaissent parfaitement les formes de violence à appliquer pour fractionner la victime (…) Nous avons nous mêmes été ébranlés par ces méthodes visant à transformer un enfant en robot… »
En décembre 2010, Priscilla Majani disparaît avec sa fille Camille suite à de graves accusations de pédophilie contre Alain Chauvet (avec dépôt de plainte)… Depuis, elles vivent dans la clandestinité, et Alain Chauvet, le papa, n’a aucune nouvelle. La militaire à la direction départementale de l’armement aurait-elle bénéficié de soutiens pour cacher l’enfant ? Un avis de recherche a été lancé… Alain Chauvet : « J’ai rencontré Priscilla Majani en 1993. À l’époque, je donnais des cours de pilotage et elle était élève. Elle avait 19 ans, moi 44 ans. »
Dernier survivant des grands voyous qui ont tenu le haut du pavé dans les années 1970-1980, Gérard Fauré a décidé de parler. Le film de sa vie dépasse toutes les fictions. Né au Maroc d’un père officier français et d’une mère berbère, il s’initie au trafic sur le port de Tanger et devient contrebandier. En Espagne, il s’associe avec des anciens de l’OAS pour commettre hold-up et trafic de drogue. Il côtoie la French Connection et développe une organisation criminelle aux Pays-Bas avec le parrain marseillais Gaëtan Zampa. À Paris, il devient dans les années 1980 le « prince de la cocaïne », fournisseur préféré du show-biz, qu’il reçoit dans un hôtel particulier pour des fêtes nocturnes très privées. Sa chute en 1986 provoque bien des angoisses et tractations en coulisses dans le Bottin mondain.
Actrices vedettes, mannequins, princesses, animateurs télé, stars d’Hollywood : Gérard Fauré porte avec le recul un regard cruel sur les vices des stars dont il fut le fournisseur privilégié et le compagnon des nuits parisiennes et cannoises.
Il évoque également les politiques de haut niveau qui furent ses clients, tout en réclamant publiquement que l’on durcisse la lutte contre la drogue. Il avoue enfin les liens troubles du Milieu avec le SAC (Service d’Action civique) de l’époque Pasqua et les « contrats » d’assassinats réalisés sur commande pour des objectifs politiques.
Un témoignage unique et détonant !
On l’appelle « Mimi ». Michèle Marchand, la papesse des paparazzis, la gardienne des rumeurs, des secrets de la politique et des affaires. Elle collectionne les scoops sur les puissants, ceux que vous avez vus et ceux que vous ne verrez jamais. Mimi ne dispose d’aucun titre officiel mais son agence de presse, Bestimage, protège l’image de la première dame et celle, privée, du couple Macron. Une manne. Jamais une petite marchande de photos n’aura eu un tel privilège… Comment Mimi est-elle arrivée au cœur du pouvoir ? Que sait-elle ? Que voit-elle ? Difficile d’enquêter sur cette femme puissante et redoutée. Ses amis se taisent, ses obligés aussi, et ceux qui ont été photographiés malgré eux préfèrent se faire oublier. Garagiste, tenancière de boîte de nuit quand le Tout-Paris se consumait dans la fête, mariée à un braqueur puis à un policier, reine de la presse people… avant de se rendre à l’Élysée par la grande porte. La vie de Mimi est une énigme, un vertige, un roman.
Dans les années 70, Auxerre paraissait être une petite ville de Bourgogne bien tranquille, pourtant, la ville allait être secouée par une série de disparitions de jeunes femmes.
Le 30 août 2018 se déroulait au Tribunal de Saintes le procès en correctionnelle de Stan Maillaud, Janett Seemann, Sandrine Gachadoat, Sylvie Peilleron, Jérémy Lehut et Christophe Borja.