1. La « justice » française trouve des prétextes à deux balles pour montrer qu’une maman aimante est, en fait, une mauvaise mère (liste non-exhaustive): relation mère-enfant trop fusionnelle, fragilité psychologique de la maman (qu’est ce que ces deux notions, de « relation trop fusionnelle » et de « fragilité psychologique » veulent dire, concrètement ? Aucune idée), refus de scolarisation de l’enfant suite au harcèlement scolaire, le fait que la maman n’a pas pu/su protéger son enfant du père de l’enfant /conjoint violent, dénonciations, par la maman, de faits de nature violente et/ou sexuelle subis par son enfant à l’école, chez le père de l’enfant, etc., ces dénonciations étant d’emblée considérées comme abusives par la « justice » française, etc.