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Jacqueline de Croÿ – 24 mai 2010
Drasius Kedys est mort à 38 ans, les bras croisés sur la poitrine, une importante coupure lui barrant le visage de la racine des cheveux à la pommette, le corps couvert de bleus. Les autorités lituaniennes pensaient enterrer en secret cet homme d’affaire érigé en héro le 9 octobre 2009, pour avoir abattu sa belle-soeur et un juge, à qui il reprochait d’avoir transformé sa fille et sa nièce en jouets sexuels. Cela n’a pas été possible, parce que la soeur de Drąsius Kedys le recherchait dans toutes les morgues et l’a retrouvé dans un casier anonyme.
Une femme a cru reconnaître, vendredi soir la jeune Italienne enlevée en 2004, à l’âge de 4 ans. Le même âge. Le même teint. Les mêmes traits… Tout semblait parfaitement correspondre. Si bien qu’elle y a cru. Elle a cru au miracle…
Attention DANGER:
Cette vidéo est toxique
La pratique du Ouija est extrêmement dangereuse et déconseillée.
Texte tampon – Texte tampon -Texte tampon – Texte tampon -Texte tampon – Texte tampon -Texte tampon – Texte tampon -Texte tampon – Texte tampon
KTO vous propose un regard vrai sur la pédophilie. Quel accompagnement pour les victimes ? Comment lutter et prévenir dans une société érotisée ? Faut-il penser des changements au sein de l’Eglise de France ? Que signifie l’application de la » tolérance zéro » martelée par Benoît XVI ? Cette crise appelle-t-elle à une nouvelle vigilance dans la relation éducative ? Nos invités désirent oeuvrer au nom des victimes pour que la vérité soit établie.
Emission du 22/04/2010
Un conseiller municipal du Mesnil-Saint-Denis, dans les Yvelines, dénoncé après l’enquête pour l’émission « Les infiltrés » de France 2, sera jugé vendredi devant le tribunal correctionnel de Versailles pour proposition sexuelle à une mineure, a-t-on appris de sources concordantes.
https://www.youtube.com/watch?v=zXXl3kz25FU
Selon un récent rapport des Nations Unies sur le sujet, il y aurait dans le monde plus de « 750 000 prédateurs sexuels connectés en permanence sur la toile ». Pendant près d’une année, l’une de nos équipes a mené une investigation sur ces « prédateurs sexuels » qui se servent d’Internet pour abuser d’enfants. C’est ce que les policiers appellent le phénomène du « grooming » : tout acte visant à manipuler un enfant via internet à des fins sexuelles.
La polémique sur l’émission Les Infiltrés (diffusée ce soir sur France 2) intéresse la presse nationale. Le journaliste qui s’est fait passer pour un pédophile avant de dénoncer à la police ses contacts a-t-il eu raison ou tort ?
Cette révélation a fait l’effet d’une bombe au Brésil, où 72 % de la population déclare être catholique, annonce 20Minutes.fr
La semaine dernière, un reportage diffusé sur la chaîne SBT, dévoilait au grand jour les abus du père Luiz Marques Barbosa, un prêtre de 82 ans, qui officie dans l’Etat pauvre d’Alagoas, au nord-est du Brésil.
Faut-il accuser celui qui parle ou celui qui se tait ? C’est la question. Votre livre est courageux, une page d’histoire.
Il réclamait ma condamnation à 18 000 euros, le tribunal lui administre une véritable leçon de droit !
Tout commence par la publication sur plumedepresse, le 13 novembre 2007, d’un billet intitulé Yvan Colonna déjà condamné ? Nous y mettions nommément en cause l’un des magistrats choisis pour faire partie de la Cour d’assises spéciale chargée de juger l’assassin présumé du préfet de Corse Claude Erignac : Marc Bourragué, actuellement vice-président du tribunal de grande instance de Paris. Stupeur en juillet 2008 : nous sommes entendu par la police « dans le cadre d’une information suivie contre inconnu du chef d’injures publiques envers un fonctionnaire public » : l’inconnu ne le restera pas longtemps et nous sommes mis en examen en octobre (ce que nous narrions dans cet autre billet). Nous n’avions par contre pas raconté à l’époque l’incroyable péripétie suivante : suite à des problèmes de transports, la juge d’instruction de notre affaire est contrainte de décaler de plusieurs heures notre audition, durant laquelle son téléphone sonne. « C’est lui !« , annonce-t-elle alors, après consultation du numéro affiché, à notre avocate et nous-même, tous deux médusés. Sans ce contretemps, l’audition aurait été terminée et Bourragué vient aux nouvelles, songeons-nous. Après une brève conversation monosyllabique, raccrochant le téléphone, la juge rectifie : « Ce n’était pas lui, c’était son cabinet« . Une précision qui nous laissera dubitatif. L’anecdote illustre le problème de comparaître devant le tribunal de Paris alors que le plaignant y exerce : fallait-il réclamer le dépaysement du procès, pour éviter d’être jugé par ses collègues ? L’épilogue nous enseignera que non, l’issue de l’affaire s’étant avérée pour nous favorable. Autre circonstance que nous n’avions jamais encore évoquée, la pression exercée par la juge afin de connaître l’identité de l’auteur d’une lettre dont nous reproduisions des extraits dans le billet incriminé, adressée à la Fédération internationale des droits de l’Homme et renfermant deux des trois termes prétendus par mon adversaire constitutifs d’injure publique. Nous invoquons naturellement le principe de la protection des sources journalistiques pour refuser de répondre. « Ne vous inquiétez pas, nous le retrouverons« , tente la juge en guise de coup de bluff, s’appuyant sur le seul élément dévoilé dans le billet, à savoir son appartenance à l’association des familles de victimes de la région toulousaine, Stop à l’oubli. Peine perdue, nous restons ferme dans notre refus de divulguer le nom du signataire. Au moins lui sera-t-il épargné d’être inquiété.
Extrait de la conférence de 2009 de Sarane Alexandrian intitulée « La Magie Sexuelle)
Conférence intégrale ICI