La souffrance des enfants ayant subi des abus sexuels dure toute une vie. A partir du 1er janvier 2013, les victimes n’auront plus de limite dans le temps pour porter plainte contre leur agresseur.
Malgré l’opposition des autorités et des milieux juridiques, il n’y aura plus de prescription pour les actes sexuels et pornographiques commis sur des enfants de moins de douze ans en Suisse.