La théorie du genre remise en question par Farida Belghoul a défrayé la chronique suite au succès de ses JRE (jour de retrait).
Le gouvernement jusqu’au plus haut niveau la menace et tente aussi d’intimider les parents qui participent à cette action en les convoquant parfois de façon policière.
Echange tendu entre le député UMP Claude Goasguen et la députée PS Axelle Lemaire. Celui-ci trouve « légitime », les manifestations de parents contre la théorie du genre. « Vous faites croire aux parents qu’on va enseigner l’éducation sexuelle en maternelle, c’est faux », a rétorqué la députée PS.
Le 18 janvier 2014, des parents ont organisé en Allemagne, à Cologne, une manifestation contre les cours obligatoires d’éducation sexuelle version gender, où les enfants dès la maternelle sont confrontés à un contenu pornographique explicite les invitant à tester sur eux des pratiques pas encore connues à leur âge.
Le pays a les nerfs à vif. Le pouvoir dénonce ainsi les « délires » des parents d’élèves qui assurent que la théorie du genre serait enseignée aux jeunes enfants. Auraient-ils vraiment tort? Certes, cette théorie n’est pas, en effet, au programme des écoles primaires. Mais une expérimentation de l’ »égalité fille-garçon » y est en cours. Il y a, dans cette démarche, la volonté de soustraire l’enfant à sa famille, de le soumettre à un endoctrinement. Les parents ont raison d’être contre.
Yvan Blot a rédigé un article sur la théorie du genre si chère au cœur d’une madame Taubira. Dans cet écrit il rend hommage à l’ouvrage du professeur Jean-François Mattéi qui, lui, a sorti un livre qu’il avait intitulé « La barbarie intérieure, Essai sur l’immonde moderne ». Compte tenu de l’ampleur du mouvement de protestation en France, nous avons cru bon décortiquer avec le docteur Blot tous les tenants et les aboutissants de cette théorie diabolique dont on essaie d’intoxiquer nos enfants. Et je vous assure que l’exposé d’Yvan Blot vous fait peur par la froide et impartiale analyse de la prochaine étape qui attend la France.
La justice australienne a reconnu le « sexe neutre », l’absence de genre, en autorisant un(e) être humain(e) à ne pas être catégorisé(e) parmi les hommes ou les femmes sur son état civil. Le sexe et le genre neutres sont donc désormais des vérités. Ou comment l’idéologie parvient à faire exister l’irréel. Comme toujours, le Nouvel Obs applaudie cette décision terrible :
Le 31 mai dernier, Norrie May-Welby a été autorisé(e) par la justice australienne à faire disparaitre toute mention à son sexe sur son état civil. Il (elle) devient ainsi officiellement le(a) premier(e) australien(ne) de genre neutre, ni un homme, ni une femme.
L’info affirmant le contraire a largement circulé à la fin du mois d’avril. La réalité est loin du fantasme.
«Les Suédois bientôt forcés d’uriner assis ?» se demandaient fin avril plusieurs médias français, dont Le Figaro ou Grazia. «Une loi pour interdire aux hommes de faire pipi debout est actuellement débattue dans la région du Södermanland, en Suède. Grotesque, l’idée est néanmoins défendue avec ferveur à coups d’arguments féministes et médicaux», explique ainsi Terrafemina. En vrac, une telle loi proposée par un certain Viggo Hansen, membre du Left Party suédois, devrait permettre de lutter pour l’égalité des sexes et contre le cancer de la prostate.
Au nom de la parité et par souci d’égalité homme-femme (ou femme-homme si vous préférez), Viggo Hansen, un député suédois membre du Parti de gauche de Sörmland, propose très sérieusement de contraindre les hommes à uriner assis.
C’est beau, l’égalité.
Un député suédois va défendre cette semaine une loi obligeant les hommes à uriner assis. Objectif selon lui : améliorer l’hygiène, renforcer l’égalité homme-femme et lutter contre le cancer de la prostate.
Et pourquoi ne pas offrir une poupée à un petit garçon et un camion de pompier à une fillette ? C’est une nouvelle tendance : pour lutter contre les préjugés sexistes, certains parents ont décidé de traiter le problème à la racine, en élevant leur enfant comme si il n’avait pas de sexe. C’est en Suède que ce mouvement est né. Là-bas, certaines familles autorisent leur petit garçon à porter des vêtements de filles ; et dans les maternelles, les contes de fée où le prince charmant vient délivrer la princesse endormie sont proscrits. Un pronom neutre, qui n’existait pas, a même été inventé dans la langue suédoise pour ne pas devoir différencier féminin et masculin. En France, une crèche pilote tente cette expérience controversée en faisant la chasse aux réflexes sexistes.
Émilie Renavand