Commençons par la Bourgogne et plus précisément le département de la Nièvre. En juin 1990, une juge d’instruction parisienne sur la piste d’un réseau pédocriminel international faisait arrêter le prêtre de Saint-Léger-des-Vignes dans la Nièvre, le père Nicolas Glencross. Les forces de l’ordre découvraient alors dans son presbytère un véritable studio de photographie, ainsi que des sacs remplis de photos pédocriminelles destinées à des magazines pédophiles.
Un témoignage troublant sur un homme initié à la franc-maçonnerie voulant faire de sa fille un « être supérieur ». Un robot prêt à lui obéir au doigt et à l’oeil par un conditionnement extrême. Maude Julien ne parle pas directement d’abus rituels sataniques ni de troubles dissociatifs mais elle évoque des cicatrices sur ses cuisses et sa poitrine dont elle ignore l’origine…
Plus de cinquante ans après, Maude Julien se souvient encore du bruit du verrou, quand la grille s’est refermée sur elle. Son père venait d’acheter une bâtisse lugubre, fl anquée d’un parc, dans la région de Saint-Omer. Maude, alors âgée de trois ans, y vivra cloîtrée, sans jamais aller à l’école, sans jamais avoir d’amis. Enfermée mentalement aussi, car le patriarche veut faire de sa fi lle une « supra-humaine ». Elle doit apprendre à surmonter la peur, les privations, la douleur, la solitude pour être capable de réaliser la mission à laquelle il la destine. Longtemps plus tard, elle comprendra que son père, haut dignitaire d’une obédience maçonnique ésotérique, avait échafaudé un projet vertigineux dans lequel elle tenait le rôle central.
Son père avait pour elle un projet fou : en faire un être parfait. Pendant 15 ans, il l’a recluse dans sa maison. Maude Julien raconte pour la première fois les méthodes d’éducation et l’enfer qu’elle a vécus sous l’emprise de son père, un riche industriel du nord de la France. Un témoignage exclusif. C’est le portrait de la semaine par Thierry Demaizière et Léo Monet.
La Franc-maçonnerie est une société discrète. Certains maçons profitent de cette discrétion pour dévoyer l’idéal maçonnique en commettant des actes malhonnêtes. Voici la liste des maçons mis en examen ou condamnés (sources : L’Express n° 2534 et Nouvel observateur n° 1856) :
Le rapport sur le comportement sexuel des français paru en 1971, surnommé alors le « Rapport Kinsey des Français », a pour auteur un personnage central de l’évolution des questions de sexualité, de contraception, d’avortement et d’euthanasie : Pierre Simon. Ce dernier fut une référence du monde médical, un membre éminent de grandes loges françaises et une figure influente des appareils gouvernementaux. Ses idéaux « progressistes » perdurent aujourd’hui, y compris à travers les lois et les différentes structures institutionnelles qu’il a contribué à mettre en place au cours de sa longue carrière militante.
Le chef des Illuminati, Adam Weishaupt affirme dans son ouvrage Le testament de Satan (1770) que le dieu de la FM est Satan.
Cette assertion est confirmée par le général sudiste de 33° degré, le sanguinaire Albert Pike dans Morals and Dogma an 1871 : « Nous disons à la foule que nous adorons Dieu. Mais il s’agit du Dieu que l’on adore sans superstition. La religion devrait être, pour nous tous initiés de hauts grades, maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne. Oui ! Lucifer est Dieu. » Il ajoute que seules les plus hauts grades de l’ordre connaissent le secret de la FM, tandis que les autres sont égarés dans de fausses interprétations.
Jimmy Savile, ancien présentateur de la BBC, a fait la une des journaux anglais depuis les révélations qui ont suivies sa mort concernant des viols sur mineurs. Le nombre de ses victimes potentielles se chiffre en centaines et plusieurs enquêtes sont encore en cours.
Des réseaux secrets de la franc-maçonnerie ont été utilisés par les gangs du crime organisé pour corrompre le système de justice pénale, selon un rapport de la police métropolitaine, une bombe divulguée par le journal The Independent.