En Australie, une sale affaire a fait scandale il y a quelques temps. Presque un classique: une histoire de réseau pédophile et sataniste, dont les membres très bien placés font tout pour éviter qu’il ne soit mis à jour. A l’origine de ces accusations, un médecin, le Dr Reina Michaelson, qui a eu affaire à eux.
On a déjà vu ici des témoignages de victimes de réseaux pédophiles que je qualifie « d’élite », venus des Etats-Unis, des Pays-Bas, d’Angleterre, d’Allemagne, et bien sûr de France. On va voir aujourd’hui ce que dit un certain Marc Onnestad, qui raconte, finalement, son parcours de fils du sérail, de ces familles dans lesquelles tout votre destin tient à des jeux d’intérêt. Il s’agit d’un témoignage qui, à première vue, peut sembler extravagant. Mais, je commence à en avoir entendu un peu trop, de ces témoignages, pour qu’il n’y ait pas un vrai système derrière ces accusations. Tentative d’explication.
Portés disparus depuis quelques temps, environs 20 enfants âgés de deux mois à 5 ans ont été retrouvés le 29 juillet dernier dans un orphelinat au quartier Tshatshatsha par des habitants qui ont saccagé le lieu, le soupçonnant également le « pseudo » orphelinat qui vend des enfants aux homosexuels américains.
Titre d’origine: « Kubrick & The Illuminati – Don’t you want to go where the rainbow ends? »
A l’occasion de son anniversaire -Stanley Kubrick aurait eu 85 ans le 26 juillet dernier-, un joli cadeau a fait son apparition sur la toile pour tous les fans du maître Kubrick : un documentaire de 30 minutes tentant de percer les secrets d’Eyes Wide Shut. Baptisé Kubrick & The Illuminati et sous-titré « Don’t you want to go where the rainbow ends? », le film, illustré avec de nombreux extraits de films de Kubrick et autres (Nolan, Polanski, Spielberg), développe plusieurs pistes, notamment liées à la scientologie, la pédophilie, la symbolique maçonnique, et aux théories du complot (d’où le titre faisant référence à l’Illuminati). Gasface (Mathieu Rochet et Nicolas Venancio), à l’origine de ce documentaire, s’appuie sur l’analyse du scénariste et critique Laurent Vachaud, auteur de l’article Le secret de la pyramide, publié dans la revue Positif en janvier dernier. Michel Ciment participe également au film.
La secte des Témoins de Jéhovah, issue du groupe des Étudiants de la Bible fondé dans les années 1870 par le pasteur et homme d’affaires nord-américain Charles Taze Russell, se présente comme une formation apolitique et chrétienne. Implantée à Brooklyn, elle s’engage avec ferveur dans les premières revendications sionistes en 1880. Russell, qui entretient des liens étroits avec les Rockefeller, Rothschild, J.P. Morgan et Warburg, entreprend plusieurs voyages aux États-Unis et en Europe pour appeler la population juive à un retour vers la Terre promise. À ce titre, il est considéré comme un des chantres du sionisme.
Fellows a dénoncé les pédophiles qui peuplent le milieu du show biz anglais, et à la BBC. Il a donné les noms, dont celui de Kenneth Clarke, ancien député. Mais, les flics lui ont dit que Clarke était au-dessus des lois, impossible de le coincer. Quant aux autres personnes citées par Fellows, elles courent toujours. Alors, ça l’énerve.
Dans sa dépêche, l’AFP « oublie » de le préciser : l’Américain Walter Lee Williams, l’homme arrêté dans la nuit de mardi à mercredi par la police mexicaine dans une localité au sud de Cancún, outre qu’il était un prédateur sexuel de mineur présumé figurant depuis lundi parmi les « dix fugitifs les plus recherchés » par le FBI, est, d’après le site LGBT FrontiersLA.com, « un membre éminent de la communauté LGBT de Californie du Sud », professeur à la University of Southern California en « études du genre », auteur de plusieurs livres de référence pour le lobby LGBT (Overcoming Heterosexism and Homophobia, Gay and Lesbian Rights in the United States, etc.) Ces derniers temps, il avait concentré ses recherches sur la Thaïlande, précise-t-il sans rire sur son site personnel sous cette photo :
Un incident est survenu entre l’équipe de FRANCE 24 en Pologne et un prêtre de Szczecin, dans le nord-est du pays, alors que Gulliver Cragg et son cameraman Tomasz Lubik (photo) l’interrogeaient sur des accusations de pédophilie.