Partie 1:
http://www.dailymotion.com/video/xfzi1x_reportage-karl-zero-le-docteur-krombach-1-3_webcam
Partie 2:
http://www.dailymotion.com/video/xfzigq_reportage-karl-zero-le-docteur-krombach-2-3_webcam
Partie 1:
http://www.dailymotion.com/video/xfzi1x_reportage-karl-zero-le-docteur-krombach-1-3_webcam
Partie 2:
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Fait Le 19/09/2010 : A Cerneux
Mme Navi Pillay Le Haut Commissaire De L’O.N.U Aux Droits De l’Homme Palais Des Nations
CH-1211 Genève 10 Suisse
Traduction en attente
Cliquez sur le petit drapeau anglais en haut à droite pour consulter ce document sur la version anglaise de Pedopolis.
Le rapporteur de l’ONU Juan Miguel Petit déclare :
« Il y a eu des plaintes et des dénonciations précises de mères qui se disent poursuivies par des groupes, pouvant être assimilés à des mafias ou à des loges, organisant la pornographie infantile. »
KTO vous propose un regard vrai sur la pédophilie. Quel accompagnement pour les victimes ? Comment lutter et prévenir dans une société érotisée ? Faut-il penser des changements au sein de l’Eglise de France ? Que signifie l’application de la » tolérance zéro » martelée par Benoît XVI ? Cette crise appelle-t-elle à une nouvelle vigilance dans la relation éducative ? Nos invités désirent oeuvrer au nom des victimes pour que la vérité soit établie.
Emission du 22/04/2010
Cette révélation a fait l’effet d’une bombe au Brésil, où 72 % de la population déclare être catholique, annonce 20Minutes.fr
La semaine dernière, un reportage diffusé sur la chaîne SBT, dévoilait au grand jour les abus du père Luiz Marques Barbosa, un prêtre de 82 ans, qui officie dans l’Etat pauvre d’Alagoas, au nord-est du Brésil.
Faut-il accuser celui qui parle ou celui qui se tait ? C’est la question. Votre livre est courageux, une page d’histoire.
Source: http://www.mediafire.com/view/w328mmia3bs9ngd/business_pedopornographie.pdf
Trouvé sur: https://www.facebook.com/notes/husanaka-kusimo/le-commerce-de-la-p%C3%A9dopornographie-sur-internet-de-2000-%C3%A0-2010/669470316473223
Extrait de la conférence de 2009 de Sarane Alexandrian intitulée « La Magie Sexuelle)
Conférence intégrale ICI
Le lundi 30 novembre 2009, 11:50 par AMIDLISA
URGENT ET A DIFFUSER PARTOUT VIOLS et ASSASSINATS
« Il faut détecter les signaux de détresse qu’envoient les femmes battues » Information envoyée à :
u moment où j’ai terminé ce livre, Ma vie en pièces détachées*, j’avais trouvé les moyens pour guérir en profondeur. Comme après un orage, un mince filet de lumière commençait finalement à se montrer timidement le bout du nez. Si j’étais encore loin de me souvenir de tout ce qui s’était passé avec mon père, et par conséquent, d’avoir pu intégrer tous mes traumatismes, au moins je savais maintenant quels moyens prendre pour y parvenir, pour guérir en profondeur. Je venais de faire la rencontre de deux anges qui allaient m’apporter une aide non négligeable.
Extrait du livre La Mauvaise Vie, de Frédéric Mitterrand (Edition Robert Laffont, 360 p., 2005), pages 293 à 307.
« Le garçon marche dans la nuit à quelques pas devant moi. Pantalon de teinte sombre ajusté sur les hanches, étroit le long des jambes ; tee-shirt blanc qui colle au contour des épaules et à la ligne du dos ; bras nus, une Swatch au poignet, cheveux noirs avec des reflets brillants, dégagés sur la nuque. Démarche souple, allure tranquille, tout est beau, net, irréprochable. Il ne se retourne pas, il sait que je le suis et il devine sans doute que cet instant où je le regarde en profil perdu, de près et sans le toucher, me procure un plaisir violent. Il a l’habitude. C’est le quatrième depuis hier soir, j’ai voulu passer par un club que je ne connaissais pas encore avant de rentrer à l’hôtel et je l’ai aussitôt remarqué. Il n’y a que pour ceux qui ne les désirent pas qu’ils se ressemblent tous. Il se tenait comme les autres sur la petite scène, les mains croisées en arrière pour bien marquer le corps dans la lumière, en boxer short immaculé, le côté saint Jean-Baptiste qu’ils retrouvent instinctivement et que les pédés adorent, mais le visage fermement dessiné, l’expression avec du caractère, regard sans mièvrerie et sourire sans retape, un charme immédiat qui le détachait du groupe des enjôleurs professionnels. J’imaginais Tony Leung à vingt ans. Il a ri comme s’il avait gagné à la loterie quand j’ai fait appeler son numéro et lorsqu’il est venu près de moi, j’ai deviné brièvement l’odeur de sa peau, eau de Cologne légère et savon bon marché ; pas de ces parfums de duty free dont ils raffolent en général. Il avait l’air vraiment content d’aller avec moi ; j’ai senti qu’il serait vif et fraternel. Les rats qui grouillent dans la ruelle détalent à notre passage, les néons disparaissent derrière nous dans la pénombre, les remugles des poubelles s’estompent dans la chaleur poisseuse, et le vacarme assourdissant de la techno qui dégorge par les portes ouvertes de tous les autres clubs accentue cette impression de privation sensorielle où je concentre toute mon attention uniquement sur lui et sur ce que j’en attends. Mauvaise musique grossièrement frelatée au synthé sur des standards que l’on ne reconnaît plus mais dont le rythme infernal bombarde tout le quartier, fait chanceler entre excitation et hébétude et saoule le désir qui tambourine contre les tempes. Ça baisse un peu dans le souterrain qui mène au parking de l’hôtel. Il élève ses quinze étages de médiocre confort international au-dessus du flot populeux et du magma des boîtes et des gargotes, abritant une clientèle pas trop friquée de tour operators qui sort le jour en groupes serrés et tâte furtivement du grand frisson et de la rigolade à souvenirs avant de se coucher tôt derrière les doubles vitrages climatisés. Mais il plonge ses racines dans un sol autrement plus fertile : la sorte de grotte où le gang des chauffeurs de taxi se livre à des parties de cartes vociférantes dans une atmosphère de tripot pour films de kung-fu commande l’accès à une série de chambres sans fenêtre qui se louent ordinairement à l’heure, et pour longtemps, voire à perpétuité si on veut en finir et y mettre le prix. Ce n’est certainement pas le pire endroit pour mourir, anonymat et discrétion assurés. De vilains jeunes gens qui n’auraient eu aucune chance sur la rampe à numéros prennent leur revanche en s’affairant devant les caves à plaisir : ils détiennent les clefs, assurent la circulation qui peut être dense, relèvent les compteurs, font le ménage entre les passes. Plutôt sympatiques au demeurant : ils prétendent connaître tous les garçons par leurs noms et traitent les habitués à pourboires en jouant la comédie d’un service de palace. Le réduit et la salle de bains sont très propres : serviettes sous cellophane, housse en papier sur le lit sans drap, moquette neuve, ventilateur chromé, des miroirs un peu partout et même au plafond pour qui ça intéresse. Le room valet, comme il se désigne élégamment lui-même, fait une tentative pour me montrer comment marche la télévision et, jaugeant mon air apparemment défait, me propose à tout hasard des cassettes sans doute destinées à me ranimer. On rit un peu sans bien se comprendre, je lui refile les billets pour deux heures avec de quoi s’offrir une autre dent en or et il sort en chantonnant. Nous sommes seuls. Mon garçon n’a pas dit un mot, il se tient devant moi, immobile, le regard toujours aussi droit et son demi-sourire aux lèvres. J’ai tellement envie de lui que j’en tremble.