En Autriche, de nouvelles analyses sur la mort d’un enquêteur en 2010 réveillent de lourds soupçons.
L’INFO. Dans l’affaire Natascha Kampusch, des zones d’ombre demeurent. La jeune femme autrichienne, séquestrée pendant huit ans dans une cave près de Vienne, jusqu’à son évasion en 2006, avait dénoncé en 2011 les dysfonctionnements au sein de la police, après son enlèvement par Wolfgang Priklopil. Et jeudi, le journal britannique The Independent en remet une couche, en affirmant que de nouveaux éléments sur la mort de l’un des enquêteurs pourraient bien forcer les autorités à rouvrir le dossier.
« A cause d’un problème technique, la publication de la version française du livre « Dode Getuigen » a été amputée d’un chapitre. Le livre s’appelle « 30 témoins morts » et compte 29 chapitres. Je vous le concède : beaucoup plus ridicule que cela, ce n’est pas possible. Le chapitre manquant traite du suicide de Brigitte Jenart, un témoin vraiment très important des faits et gestes de Michel Nihoul dans les années ’80. »