Publié pour la première fois dans Journal of OrthomolecularMedicine, Vol.5, no 1, 1990
Traduction Google
Introduction
L’hypothèse adrénochrome de la schizophrénie (Hoffer, Osmond et Smythies, 1954), a été stimulée par les travaux d’Osmond et Smythies (1952) qui se sont concentrés sur les dérivés méthylés de l’adrénaline en tant que possibles schizophrénogènes en dogènes. Ils ont montré que l’expérience qui a suivi l’ingestion de la mescaline était à bien des égards similaire à l’expérience induite par la schizophrénie chez des personnes normales. Cela a attiré l’attention sur les dérivés de l’adrénaline (et de toutes les amines sym-pathomimétiques et de leurs précurseurs) comme facteurs étiologiques. Cependant, en 1952, très peu de ces composés avaient été étudiés. Avec nos ressources, nous avons été contraints de limiter nos études à un seul dérivé, l’adrénochrome, un dérivé oxydé et coloré de l’adrénaline. La chimie était si peu connue qu’il n’était pas surprenant que les chimistes aient conclu, à tort, qu’elle était intrinsèquement instable et difficile à étudier. Nous avons consacré une grande partie de nos recherches chimiques à cette substance intéressante. En conséquence, sous la direction du Dr R. Heacock (1959, 1965), un énorme corpus de données a été recueilli et publié détaillant la chimie de l’adrénochrome, sa synthèse, son métabolisme, sa conversion en d’autres produits et ses réactions avec des substances comme l’acide ascorbique.
La vie décadente de l’écrivain Henry Miller pendant les années 1920 à Paris avec une Lolita. Au seuil de la mort, il se souvient. De sa vie parisienne des « Années folles », de son amitié avec Alfred, de ses conquêtes féminines, de Nys…
Ted Gunderson, ancien agent du F.B.I. à Los Angeles, explique comment une fois retraité, il a été amené en tant que détective privé, à enquêter sur une affaire de meurtre, mais s’est heurté aux pressions mises sur les témoins de l’affaire.
Il a alors découvert ce qui se cache derrière les églises sataniques aux U.S.A. mais aussi dans le monde, et n’a eu de cesse depuis de dénoncer « La conspiration ».
Ce reportage tourné en France aborde la thème de l’exorcisme. Il propose le portrait de deux exorcistes, l’un issu d’une église marginale et l’autre de l’église catholique romaine. On assiste à l’exorcisme d’une jeune fille de 18 ans pratiqué en présence des fidèles. La jeune femme apporte son témoignage. On voit une sorcière luciférienne à l’oeuvre en train de confectionner une statuette de cire représentant la victime à envoûter. Et enfin, le sujet montre l’exorcisme d’un homme d’une cinquantaine d’années en présence d’un médecin. L’exorcisé témoigne également.
Inceste de citron
Lemon incest
Je t’aime t’aime je t’aime plus que tout
Papapappa
Naïve comme une toile du Nierdoi Sseaurou
Tes baisers sont si doux
Inceste de citron
Lemon incest
Je t’aime t’aime je t’aime plus que tout
Papapappa
Le patron d’une petite chaîne érotique sur le câble capte par hasard un mystérieux programme-pirate dénommé Vidéodrome, qui met en scène tortures et sévices sexuels. Son visionnage provoque peu à peu des hallucinations et autres altérations physiques. La frontière entre réalité et univers télévisuel devient bien mince, et la folie guette…
L’heureuse famille Freeling mène une vie tranquille et prospère dans la petite ville de Cuesta Verde. Cependant, leur maison devient le théâtre d’étranges phénomènes quand des objets commencent à se déplacer et que le sol se met à trembler. Une nuit, la petite Carol Anne disparaît et se met à communiquer avec ses parents à travers la télévision. Les Freeling font alors appel à un parapsychologue.
Procès verbal de l’affaire du Coral publié à l’époque par le journal Crapouillot. Si ce PV est authentique, il faut se demander pourquoi les tenants du Coral ont été condamnés à des peines si légères (aucun des coupables n’ira en prison suite au procès en appel), mais aussi pourquoi ils n’ont été inculpés que pour « attentat à la pudeur sans violence sur mineurs de quinze ans et excitation de mineur à la débauche ».
« Vous savez que la sexualité d’un gosse, c’est absolument fantastique. […] Quand une petite fille, de 5 ans, commence à vous déshabiller c’est fantastique ! C’est fantastique parce que c’est un jeu absolument érotico-maniaque ! »