Titre d’origine: « Le Conseil d’Etat estime que la Ligne Azur anti-homophobie ne devait pas entrer à l’école »
Le Conseil d’Etat avait été saisi par la Confédération nationale des associations familiales catholiques (CNAFC), qui lui demandait d’annuler une circulaire du ministère de l’Education. Le 4 janvier 2013, le ministre Vincent Peillon enjoignait les recteurs à lutter contre l’homophobie et à « relayer avec la plus grande énergie la campagne de communication relative à la Ligne Azur, ligne d’écoute pour les jeunes en questionnement à l’égard de leur orientation ou de leur identité sexuelle ».
Une campagne de communication jugée trop suggestive au Royaume-Uni a été retirée par la marque, habituée des provocations.
Une campagne de publicité « odieuse », critiquent ses détracteurs. Habituée des images chocs de plus ou moins bon goût, la chaîne de prêt-à-porter American Apparel s’est à nouveau illustrée, ces derniers jours, avec une campagne intitulée « Back to the school » (« retour à l’école ») mettant en scène une modèle posant en mini-jupe d’écolière.
Bryan Singer, accusé de viols sur mineur depuis quelques jours, sera présent dans un documentaire d’Amy Berg sur les abus sexuels à Hollywood. La victime présumée du réalisateur de «X-men» devrait témoigner dans le reportage, commencé il y a deux ans.
Plusieurs sites internet proposent de mettre en relation des étudiantes avec des hommes riches prêts à les aider financièrement, en échange de leur compagnie, et souvent de relations sexuelles. Ces hommes, qui pour certains n’hésitent pas à débourser plusieurs milliers d’euros par mois, on les appelle les « Sugar Daddies », en français « des papas gâteau ». Mais pour des associations, il s’agit là de prostitution déguisée. Une enquête préliminaire a même été ouverte contre l’un de ces sites, hébergé en France.
Cette semaine se tient à Sciences-po la cinquième édition de la «Queer Week» qui met à l’honneur chaque année «le genre et les sexualités». Bienvenue au royaume des «gender studies».
Ce site destiné à lutter contre l’homophobie, parainé par l’Éducation nationale, est accusé de véhiculer des idées proches de la «théorie du genre». Il est indisponible depuis lundi 3 février. Les explications de son dirigeant.