Le conseiller régional de Normandie Robert Retout a reconnu partiellement les faits de viols incestueux qui lui sont reprochés.
Un conseiller régional RN de Normandie, âgé de 76 ans et résidant dans la Manche, a été mis en examen pour le viol de sa belle-fille de 12 ans et incarcéré, a annoncé mardi le procureur de Coutances.
La société d’investissement Apollo Global Management a indiqué lundi 25 janvier que le milliardaire Leon Black allait quitter son poste de directeur général après la diffusion d’un rapport confirmant ses liens d’affaires avec Jeffrey Epstein, le défunt financier accusé d’avoir entretenu un réseau pédophile. Leon Black, 69 ans, démissionnera d’ici le 31 juillet mais restera président du conseil d’administration de l’entreprise qu’il a cofondée en 1990, détaille un communiqué.
Le frère aîné de Camille et «Victor» Kouchner a notamment évoqué dans les colonnes du Parisien, le dimanche 24 janvier, le décès de sa tante Marie-France Pisier, mais également le combat de cette dernière, qui fut déterminée à révéler au grand jour les agissements d’Olivier Duhamel.
Violée par son père jusqu’à ses 17 ans, l’élue écologiste Loubna Meliane raconte sur le plateau de « C Politique » sur France 5, son combat pour se reconstruire et comment elle a dû faire le deuil de sa famille.
Une plainte a été déposée le 8 janvier dernier contre le producteur de télévision Gérard Louvin et son époux Daniel Moyne. Le plaignant, qui est le neveu de Gérard Louvin, affirme avoir été victime de viols incestueux.
Dans une vidéo publiée samedi sur les réseaux sociaux, Emmanuel Macron s’est adressé aux victimes de violences sexuelles faites aux enfants, dont l’inceste.
Depuis que le scandale sexuel autour de l’affaire Epstein a éclaté au grand jour, le prince Andrew est dans la tourmente. Accusé de viol, le troisième fils de la reine Elizabeth II voit son empire financier voler en éclat. Les employés de son entreprise seraient partis et le laisseraient seul.
S’il pensait que l’année 2021 allait être plus clémente que la précédente, le prince Andrew se trompait. Depuis novembre 2019 et sa fameuse interview pour la BBC, plus rien ne va pour le fils de la reine Elizabeth II. Interrogé sur ses liens potentiels avec Jeffrey Epstein et son trafic de mineurs, le prince Andrew avait donné des réponses insatisfaisantes et le public s’était retourné contre lui. Il est notamment accusé par le FBI d’avoir agressé sexuellement une mineure, âgée de 17 ans au moment des faits. De plus, les enquêteurs attendent toujours que le frère du prince Charles réponde sur son implication dans le trafic de mineurs dont était accusé Jeffrey Epstein. Devant de telles accusations, la famille royale s’est alors désolidarisée du duc d’York. Il lui serait même interdit de venir célébrer le centième anniversaire de son père, le prince Philip.
Les images parlent à plus de monde que le texte.
C’est pour cela nous avons décidé de faire « 1 sur 5, le film », un documentaire exhaustif sur la pédocriminalité en France.
Le 3 décembre 2020, nous avons publié « 1 sur 5, manifeste contre la pédocriminalité ». Un site, https://www.1sur5.org/, et une pétition relaient maintenant notre combat. Nous proposons 25 mesures pour éradiquer la pédocriminalité en France. Nous voulons que ces mesures se retrouvent demain dans une vraie loi.
Nous sommes conscient que ce film, aucun producteur, aucun média, aucune chaîne de télévision, aucune plateforme n’osera le produire… et encore moins le diffuser. Nous avons décidés de proposer à toutes celles et tous ceux qui pensent que ce combat est primordial de nous aider à le financer sur la plateforme de crowdfunding Ulule.
Alors que le Sénat a voté ce jeudi 21 janvier la création d’un nouveau crime sexuel sur mineurs de moins de 13 ans, l’autrice de la proposition de loi, Annick Billon, a expliqué le choix de ce seuil d’âge sur le plateau de BFMTV, suscitant l’ire de Bruce Toussaint.
Un nouveau procès a accusé Twitter de fermer les yeux sur la pornographie enfantine sur sa plateforme, affirmant qu’il a ignoré les demandes répétées d’une victime mineure du trafic sexuel pour retirer des images explicites obtenues par chantage.
La plainte, déposée mercredi par l’adolescent victime et sa mère dans le district nord de Californie, soutient que Twitter a refusé de retirer les vidéos sexuellement graphiques au motif qu’elles ne violaient pas sa politique, leur permettant ainsi d’accumuler plus de 150 000 vues.