Une arrestation en 1962. Une autre en 64. Encore une autre en 69. Puis en 73, 83, 85, 87… Pratiquement toutes pour viol ou attouchement sur mineur de moins de 15 ans. Francis Évrard est un pédophile récidiviste. En quarante-cinq ans, l’homme a fait près de quarante années de prison. Et après chacune de ses sorties, il ne s’est jamais écoulé plus de quatre mois avant qu’il n’agresse à nouveau un jeune garçon.
A propos de l’acquittement de Loïc Sécher son avocat Eric Dupond-Moretti a dit au Grand Journal du soir sur France 3 le 1er Octobre « On a identifié les vrais coupables ».
Nathan Verhelst est mort dans un hôpital de Bruxelles, entouré de plusieurs amis. Ce belge de 44 ans qui rêvait d’être un homme a demandé à être euthanasié après une opération de changement de sexe qui a échoué. « Il est mort en toute sérénité », a déclaré le médecin l’ayant suivi, Wim Distlemans, de l’hôpital universitaire flamand VUB. Toutes les conditions d’une euthanasie étaient réunies car « on pouvait clairement parler dans ce cas de souffrances psychiques insupportables », a-t-il précisé au quotidien Het Laaste Nieuws. Nathan avait le sexe féminin à sa naissance, dans une famille qui comptait trois garçons, et portait le prénom de Nancy. Il avait été rejeté par ses parents, qui souhaitaient un nouveau garçon, selon le quotidien qui l’a interrogé la veille de sa mort. Rêvant depuis son adolescence de devenir un homme, il avait successivement subi trois opérations (cure d’hormones, ablation des seins et changement de sexe) entre 2009 et juin 2012, mais sans en être satisfait : sa poitrine restait trop forte et le pénis qu’on lui avait placé était « raté », avait-il expliqué. « Dans le miroir, j’ai eu une aversion pour mon nouveau corps » « J’avais préparé des dragées pour fêter ma nouvelle naissance, mais la première fois que je me suis vu dans le miroir, j’ai eu une aversion pour mon nouveau corps », avait raconté Nathan. « J’ai eu des moments heureux, mais au final la balance penchait du mauvais côté », avait-il résumé, estimant être « resté 44 ans de trop sur cette terre ». Pour avoir recours à l’euthanasie, qui est légale depuis 2002 en Belgique , « la personne doit présenter une affection grave et incurable qui lui cause des souffrances » pouvant être « d’ordre psychique ou physique », a expliqué Jacqueline Herremans, membre de la Commission nationale sur l’euthanasie. « Pas une dépression passagère » « Un premier médecin s’est intéressé aux caractères grave et incurable de l’affection (…) Un autre médecin, un psychiatre, spécialiste de la pathologie concernée, a examiné la qualité de la demande pour déterminer s’il ne s’agissait pas, par exemple, d’une dépression passagère », a-t-elle ajouté sur RTL.
Voici un article publié par un auteur anonyme ayant été lui-même victime d’abus rituels sataniques dans son enfance et en lien avec un certain milieu d’illuminés…
On parle beaucoup des raves parties à base de transe sonore et chimique. Les victimes officiellement identifiées – malgré la désinformation – ne font que cacher les ravages psychiques sur le long terme, moins apparents mais considérables. Avec les rave parties et la techno, on pense qu’on est loin du temps des fleurs dans les cheveux et des joyeux rassemblements hippies des années 60. Mais tout a commencé à Woodstock à la fin de la folle décennie des sixties. C’est dans ce coin de campagne du nord de l’État de New York que les services secrets américains ont parqué un demi million de jeunes pour se livrer à la plus grande expérience de manipulation collective de l’histoire du rock, et sans doute de l’histoire tout court.
On a déjà vu ici des témoignages de victimes de réseaux pédophiles que je qualifie « d’élite », venus des Etats-Unis, des Pays-Bas, d’Angleterre, d’Allemagne, et bien sûr de France. On va voir aujourd’hui ce que dit un certain Marc Onnestad, qui raconte, finalement, son parcours de fils du sérail, de ces familles dans lesquelles tout votre destin tient à des jeux d’intérêt. Il s’agit d’un témoignage qui, à première vue, peut sembler extravagant. Mais, je commence à en avoir entendu un peu trop, de ces témoignages, pour qu’il n’y ait pas un vrai système derrière ces accusations. Tentative d’explication.
Rawan, une fillette yéménite de 8 ans, est décédée au lendemain de sa « nuit de noces » des suites des blessures subies lors des relations sexuelles imposées par son « mari », âgé d’une quarantaine d’années. L’utérus de la petite fille s’est déchiré et elle est décédée samedi dans une chambre d’hôtel de la ville de Hardh.