La secte des Témoins de Jéhovah, issue du groupe des Étudiants de la Bible fondé dans les années 1870 par le pasteur et homme d’affaires nord-américain Charles Taze Russell, se présente comme une formation apolitique et chrétienne. Implantée à Brooklyn, elle s’engage avec ferveur dans les premières revendications sionistes en 1880. Russell, qui entretient des liens étroits avec les Rockefeller, Rothschild, J.P. Morgan et Warburg, entreprend plusieurs voyages aux États-Unis et en Europe pour appeler la population juive à un retour vers la Terre promise. À ce titre, il est considéré comme un des chantres du sionisme.
Les Verts allemands font face aux pages les plus sombres de leur passé. A quelques mois d’élections nationales, le mouvement écologiste fait le grand ménage sur la question de la pédophilie. Dans les archives du parti, des documents qui rappellent que certains membres des Verts, dans les années 80, voulaient légaliser la pédophilie. Surfant sur la vague « peace and love » des années 70, ils voulaient libérer la sexualité, au risque d’aller trop loin.
Crimes – Les Verts allemands vont désigner un expert indépendant pour faire la lumière sur l’influence d’un groupe militant pour la pédophilie au sein du parti écologiste dans les années 1980.
Cohn-Bendit, le Vert ou der Grüne selon la nationalité qu’on lui donne, a navigué durant plus de trente ans entre la France et l’Allemagne surfant sur la vague rebelle de l’homme libre à tous les niveaux et attaquant à souhait des personnalités. Cette fois, l’homme n’a plus la même aura auprès des masses. Ce qui reste du pourfendeur de l’ordre public est l’image d’un homme politique qui inspire le dégoût auprès des gens et des jeunes générations
Aujourd’hui Daniel Cohn-Bendit ne peut plus sortir ni à Berlin, ni en Pologne sans être rappelé à son passé avec son livre le Grand Bazar. Le célèbre réalisateur polonais, Grzegors Braun, ayant tout récemment appris les dires et les allusions sexuelles de Daniel Cohn-Bendit envers les enfants a porté une plainte en Pologne pour pédophilie contre l’eurodéputé franco-allemand. A Berlin dans deux conférences, où Daniel Cohn-Bendit participait, un homme a interrompu le bon déroulement de ces dernières et montré du doigt Daniel Cohn-Bendit avant de dire « cet homme est un pédophile » avant de lire le passage incriminé du Grand Bazar ou d’interpeller l’assemblée sur le passé de l’eurodéputé.
Au centre d’une polémique en Allemagne pour ses écrits sur la pédophilie, Daniel Cohn-Bendit renonce au Grand Prix des Médias franco-allemand 2013. «L’expérience qu’il a faite lors de la remise du Prix «Theodor-Heuss», le 20 avril dernier, et les retombées médiatiques négatives l’ont amené à prendre cette décision», expliquent les organisateurs du prix franco-allemand du journalisme dans leur communiqué.SUR LE MÊME SUJET
Le 24 avril, le député européen d’extrême-gauche devait participer à un débat sur l’Europe à l’Institut de Politologie de l’université de Wroclaw, en Pologne. Face à la vague de protestations que cela a soulevé, et craignant sans doute d’y être conspué, « Dany le Rouge » a préféré annuler sa participation. Les protestataires reprochaient aux organisateurs d’avoir invité un activiste d’extrême-gauche qui a reconnu dans son autobiographie Le Grand Bazar publiée en 1975 avoir eu des attouchements pédophiles avec des enfants de 5 ans d’une école maternelle de Francfort sur le Main où il travaillait. Des aveux réitérés dans l’émission Apostrophes du 23 avril 1982.
Cette fois c’est le Président de la Cour constitutionnelle fédérale allemande, Andreas Voßkuhle, 50 ans, qui vient de refuser de lire le discours de remise du prix prestigieux Theodor Heuss à Daniel Cohn-Bendit, 68 ans, qui devait célébrer son combat pour la démocratie et les droits fondamentaux le 20 avril à venir. « Le Président ne pouvait pas associer la Cour avec des écrits parlant de la sexualité entre les adultes et les enfants »,expliquent le service de presse.
1)J’ai une question qui me vient à l’esprit: pourquoi un officier de police des RG en est arrivé à s’intéresser à la violence des sectes satanistes et à écrire un livre: « Qui veut encore tuer le Christ? »