Lorsque l’on veut s’intéresser à l’aide sociale à l’enfance, on a l’impression de vivre une mauvaise farce. Ce qui a coûté plus de 7,5 milliards d’euros en 2011 aux contribuables ne nous empêche pas d’être scandalisé à chaque nouveau drame touchant des enfants. de nombreux faits divers étayent ce constat : un directeur d’association qui touche plus de 9000 € par mois de salaire en plus des milliers d’euros de frais personnels prix sur le budget de fonctionnement ; un pédophile, déjà condamné, engagé comme veilleur de nuit d’un foyer qui héberge des mineurs. et parfois des enfants qui meurent, victimes de mauvais traitements… Certes, il existe des travailleurs sociaux qui interviennent d’une manière admirable ; leur abnégation ne peut pas cacher les manques et l’inexis- tence de contrôles des établissements ou des familles chargés de cette protection de l’enfance. pendant deux ans, les réalisatrices ont enquêté pour mettre au jour ce que cache ce monde où l’opacité et la loi du silence sont des règles absolues. un constat révoltant : beaucoup d’argent a été dépensé pour un maigre résultat…
L’Académie de Nantes recommandait des ouvrages pour enfants à ne pas rapporter à la maison… pour ne pas choquer les parents. Repérée par des internautes, la page concernée, qui datait de 2006, a été retirée du site mardi matin.
Droit de réponse à l’article paru dans le quotidien « le Parisien » du 11 septembre 2014
Quelques membres sont allés, en qualité de citoyens, soutenir Maitre François Danglehant, avocat au barreau de Paris, lors d’une énième mascarade judiciaire, le 5 septembre 2014, à Bobigny. Après le procès, toute l’équipe est allé s’installer à une terrasse à proximité du tribunal afin de se désaltérer dans la joie et la bonne humeur.
Chaque année 130.000 mineurs sont placés en famille d’accueil ou en foyer. Une mesure de protection indispensable quand les familles sont défaillantes…Mais un système qui connait aussi de graves dérapages… Sur le terrain, les éducateurs se plaignent d’un manque de moyen. Et pourtant notre pays dépense près de 7 milliards d’euros par an à l’aide sociale à l’enfance… Une somme importante qui excite les convoitises
Plus grave encore, comment expliquer certains cas de maltraitance d’enfants dans une institution chargée de les protéger ? Pendant 2 ans Alexandra Riguet et Pauline Legrand ont enquêté sur cet univers où règne la loi du silence.
Dans cette étape bretonne nous sommes allés à la rencontre de Pierre Mazé Editeur des éditions nouvelle terre une société pas comme les autres où l’on n’hésite pas à traduire des ouvrages méconnus en France.
Dans cette étape bretonne nous sommes allés à la rencontre de Pierre Mazé Editeur des éditions nouvelle terre une société pas comme les autres où l’on n’hésite pas à traduire des ouvrages méconnus en France.
Une émission avec Beatrice El Bez et Peter Mooring sur la torture électronique, un sujet très méconnu de l’utilisation d’armes micro ondes dont les victimes sont des cobayes ou des personnes gênantes.
L’homme écroué pour le meurtre d’une des « disparues de l’A6 », fin 1996 en Saône-et-Loire, a avoué le crime après avoir été confondu récemment par de nouvelles expertises ADN, 18 ans plus tard.
Coup de théâtre dans l’affaire des disparues de l’A6, du nom de ces huit jeunes femmes qui avaient disparues aux abords de l’autoroute en Saône-et-Loire entre 1986 et 1999. Un homme de 56 ans a été écroué, confondu par son ADN. L’individu, marié et père de deux enfants, est mis en cause pour le meurtre de Christelle Blétry, tuée en 1996 de 123 coups de couteau.