Commençons par la Bourgogne et plus précisément le département de la Nièvre. En juin 1990, une juge d’instruction parisienne sur la piste d’un réseau pédocriminel international faisait arrêter le prêtre de Saint-Léger-des-Vignes dans la Nièvre, le père Nicolas Glencross. Les forces de l’ordre découvraient alors dans son presbytère un véritable studio de photographie, ainsi que des sacs remplis de photos pédocriminelles destinées à des magazines pédophiles.
Dans les années 70, les pédophiles se sentaient pousser des ailes. ils créaient même des écoles, comme l’Ecole en Bateau, ou Coral, ou tant d’autres lieux de vie dans lesquels les éducateurs non qualifiés étaient trop souvent des pédophiles. Il se trouve qu’à l’époque, il existait déjà une sorte d’internationale pédophile, dont la toile s’étendait sur tout le globe.
1)J’ai une question qui me vient à l’esprit: pourquoi un officier de police des RG en est arrivé à s’intéresser à la violence des sectes satanistes et à écrire un livre: « Qui veut encore tuer le Christ? »
7. L’attentat du 6 Avril : pistes pour une enquête jamais faite
1) Le Sidaction 94 organisé le 7 Avril est le seul programme unique de radio et télévision jamais réalisé dans un état démocratique. Lors de sa préparation, trois associations (Association Didier-Seux, Projet Ornicar, Solidarité plus) dénoncèrent « une méthode totalitaire incompatible avec l’exigence pédagogique qui conduit toute action de santé publique dans une société démocratique ». La participation des stations privées fut acquise par l’entremise de Pierre Bergé, président d’Ensemble contre le SIDA et ami proche du Président Mitterrand. Aux réunions préparatoires, Pierre Bergé se faisait accompagner par la personne qu’il avait engagée pour sa sécurité, un ancien chef de section des services spéciaux. Il avait été initialement prévu que le Président Mitterrand serait interviewé pendant l’émission par l’un des animateurs, son neveu, Frédéric Mitterrand. (…709)
Thierry Meyssan analyse une certaine conception nazie de l’homosexualité. La deuxième partie de cet article révèle les complicités qui ont permis, depuis des années, aux représentants en France de l’extrême droite pédophile d’échapper aux poursuites judiciaires.