« Une personne de mon entourage familial (elle cite un nom) a abusé de moi sexuellement, j’avais deux ans. C’est un psychopathe. Il m’avait placé sous hypnose. Depuis, toute personne ayant de l’autorité et connaissant mon secret peut me manipuler. Tant que je n’avais pas évacué la terreur de mon enfance, n’importe qui, en me faisant peur, pouvait avoir une emprise sur moi (…)
Il fut une époque où Thierry Ardisson invitait et tutoyait Gabriel Matzneff, l’un des plus grand militant pédophile de France. En 1995, tous deux confessaient regretter une époque plus libertaire, celle probablement où Matzneff pouvait publiquement faire l’apologie de la sodomie d’enfants sans être inquiété. Mais en 2002, dans son émission « Tout le monde en parle », Ardisson s’est subitement mis a vouvoyer Matzneff, et a tenté de faire croire à ses téléspectateurs que ce dernier n’avait jamais fait « l’amour » avec des enfants en dessous de l’adolescence. Rappelons donc à cet emblématique représentant du show-business la réalité de celui qu’il a interviewé à au moins trois reprises.
Le deuxième opus autobiographique signé Cathy O’Brien et Mark Phillips. Une plongée dans l’univers de la manipulation mentale « made in U.S » qui fait froid dans le dos.
Pierre Mazé l’éditeur nous livre tous les secrets de ce livre.
L’action se passe dans feue l’émission de Thierry Ardisson 93, faubourg Saint-Honoré. On se souvient que c’est dans c’est cette même émission qui passait sur Paris Première qui avait lancé l’affaire DSK. En haut, Frédéric Mitterrand, est accueilli par l’animateur qui fait la promo de son livre. On apprend au passage que La Mauvaise vie est le premier volume d’une trilogie dont on attend la suite avec impatience. On passe ensuite au salon où sont réunis notamment autour de la grande table Stéphane Bern, Isabelle de Botton, Michèle Bernier et Stéphane Guillon (à notre connaissance, il n’a pas consacré de chronique au passage clé de ce dîner). En bas, en détail, ce fameux passage du dîner où, face aux convives hilares Frédéric Mitterrand lâche une phrase qui deviendra culte, sans aucun doute !
« C’était très glauque, personne ne comprenait ce qu’il se passait, et moi non plus d’ailleurs. Moi j’ai compris assez vite que c’était un piège à con, parceque la position où il m’a mise pour être interviewé n’était pas du tout celle qu’on m’avait dit que j’aurai, c’est à dire qu’en principe j’aurai dû être toute seule, et puis quand j’ai vu qu’il y avait Alain Prost, j’ai dit là il y a quelque chose qui … mais … Ardisson ne peux pas être dans la combine … c’est pas possible (…) »
Thierry ARDISSON, en présence de Joey STARR et d’Elisa TOVATI, reçoit Marie LAFORET sous le nom de madame de LAVANDEYRA à propos l’affaire Didier SCHULLER et de ses soupçons quant à l’implication de son mari, Eric de LAVANDEYRA, dans cette affaire.
Thierry ARDISSON reçoit la soeur de Karen MULDER, Saskia, qui fut également mannequin, dans une rubrique « Tout le monde s’explique ». En effet, en octobre 2001, l’animateur est contacté par Karen MULDER car elle a des révélations à faire sur l’agence Elite. Il la reçoit pour l’émission du 31 octobre 2001. Découvrant rapidement qu’elle n’est pas dans un état normal mais dans un délire paranoïaque, accusant un certain nombre de personnalités de l’avoir violée sous hypnose, Thierry ARDISSON décide d’arrêter l’interview et en accord avec la production de ne pas la diffuser. La famille MULDER fait interner Karen dans une clinique pour la soigner. Des « fuites » ayant eu lieu sur internet et dans la presse, la rumeur s’amplifiant de façon mensongère, sa soeur est là pour témoigner de la réalité : Karen va mieux, elle est soignée et n’a jamais eu d’épisode délirant auparavant. Elle a fait une dépression après avoir arrêté sa carrière de mannequin, elle est donc suivie depuis mais reste fragile. La jeune femme demande donc aux médias de ne pas créer une « affaire » là où il n’y en a pas. Un extrait musique générique « Les dossiers de l’écran » en off
Tout le monde a en mémoire les remous provoqués dans la presse par l’émission censurée de Thierry Ardisson du 3 novembre 2001, « Tout le monde en parle ». Les invités étaient, entre autres, Karen Mulder et Ophélie Winter. Paradoxalement, la production décida de censurer ce dont tout le monde parla à l’époque.
Gérald MARIE, ex dirigeant d’Elite Europe, est accompagné par Loan CHABANOL et de Laura CISNEROS qui sont des mannequins. Extrait de musique off à leur arrivée. Il est accusé par un journaliste qui s’est fait passer pour un photographe de mode. Un reportage de ce journaliste à la BBC a déclenché la polémique. Thierry ARDISSON décrit les images de ce reportage. Gérald MARIE évoque l’affaire en se défendant de toutes les accusations. Linda HARDY qui a été mannequin chez Elite n’a jamais constaté ce genre de dérive. Réaction des deux mannequins