1958, la superstar du rock n’ roll Jerry Lee Lewis débarque de son Mississippi natal pour une tournée au Royaume-Uni. Problème : il vient accompagné de sa femme Myra, alors agée de 13 ans, et qui est accessoirement sa cousine. Double scandale ! La polémique enfle au point d’atteindre le parlement, il se fait virer de son hôtel, et sa tournée bat de l’aile. Les salles sont à moitié vides, et le chanteur est constamment interrompu par des spectateurs indignés qui l’insultent. Il a beau expliquer que dans le Mississippi, épouser une enfant c’est carrément normal, il n’arrive pas à convaincre le public british et finit par prendre ses cliques et ses claques après à peine trois concerts.
Un sujet d‘Emilie Valentin et Yoann Ansel Commentaire : Frédéric Bonnaud
Certains supermarchés ont décidé de briser les stéréotypes garçons – filles. Le groupe Système U vient de sortir un catalogue de jouets pour Noël où les filles jouent avec des grues, et les garçons avec des poupées. Une initiative qui déplait aux opposants de la « théorie du genre », et notamment des militants de la Manif pour tous qui appellent au boycott de l’enseigne.
En Australie, une sale affaire a fait scandale il y a quelques temps. Presque un classique: une histoire de réseau pédophile et sataniste, dont les membres très bien placés font tout pour éviter qu’il ne soit mis à jour. A l’origine de ces accusations, un médecin, le Dr Reina Michaelson, qui a eu affaire à eux.
On parle beaucoup des raves parties à base de transe sonore et chimique. Les victimes officiellement identifiées – malgré la désinformation – ne font que cacher les ravages psychiques sur le long terme, moins apparents mais considérables. Avec les rave parties et la techno, on pense qu’on est loin du temps des fleurs dans les cheveux et des joyeux rassemblements hippies des années 60. Mais tout a commencé à Woodstock à la fin de la folle décennie des sixties. C’est dans ce coin de campagne du nord de l’État de New York que les services secrets américains ont parqué un demi million de jeunes pour se livrer à la plus grande expérience de manipulation collective de l’histoire du rock, et sans doute de l’histoire tout court.
Dans la nuit de mardi 17 à mercredi 18 septembre, le Sénat a adopté un amendement prohibant les concours de beauté pour les moins de 16 ans.
La chambre haute a mis un coup d’arrêt à l’hypersexualisation des petites filles à l’occasion de l’étude du projet de loi sur l’égalité des femmes et des hommes. Les sénateurs ont ainsi interdit les concours de beauté pour les enfants de moins de 16 ans, en adoptant un amendement de la centriste Chantal Jouanno. L’ancienne ministre avait remis un rapport parlementaire dénonçant le phénomène en mars 2012.
Deux exemples flagrants de la culture du Mind-Control dans la pop sud-coréenne
La symbolique illuminati du contrôle mental n’existe pas seulement dans le monde occidental. En Asie, la scène très populaire de K-pop (pop sud-coréenne) est remplie de ces même images. Examinons les clips « Insane » de A-JAX et « Hate You » de Ladie’s Code, deux exemples flagrants qui prouvent que le symbolisme de l’élite est international.