Biographie de l’auteur
Frédérique Gruyer, psychothérapeute, psycho-sexologue. Martine Nisse, thérapeute familiale, éducatrice spécialisée. Dr Pierre Sabourin, psychiatre, psychanalyste.
Les Rolling Stones, les Beatles, David Bowie, Led Zeppelin… Beaucoup d’artistes des années 60 ont été influencés par la philosophie d’Aleister Crowley. « Il n’y a d’autre Loi que Fais ce que tu veux »… Un leitmotiv qui a inspiré la génération hippie.
Émission censurée et introuvable
Tout le monde a en mémoire les remous provoqués dans la presse par l’émission censurée de Thierry Ardisson du 3 novembre 2001, « Tout le monde en parle ». Les invités étaient, entre autres, Karen Mulder et Ophélie Winter. Paradoxalement, la production décida de censurer ce dont tout le monde parla à l’époque.
Débats et coups bas
La Cinquième n’a pas diffusé son émission-débat Ripostes, le 4 juin. Enregistré le 26 mai et intitulé : « Peut-on tout dire dans un journal intime ?« , le magazine, présenté par Serge Moati et Dorothée Woilliez, devait opposer Michel Polac (Journal, PUF), Marc-Edouard Nabe (Kamikaze, Rocher) et Renaud Camus, dont le dernier ouvrage (La Campagne de France, Fayard), piqué de réflexions antisémites, a provoqué une polémique à sa sortie.
L’émission s’annonçait explosive. Premier couac avant même l’enregistrement : Renaud Camus, déjà maquillé, quitte le plateau, prétextant le retard pris par les équipes techniques. Moati doit se contenter d’arbitrer le débat Polac/Nabe. Mais l’ex-animateur de Droit de réponse refuse de discuter avec Nabe, « un auteur qui s’inspire de journaux d’Occupation comme Pilori ou La Gerbe ! ‘ Le duel tourne au pugilat verbal, à l’échange d’injures. Polac traite de Nabe d’antisémite et cite à l’appui un extrait de son livre sur la profanation de Carpentras qu’il faut bien reprendre ici : « On vient de révéler à la vieille marrante Madeleine que son mari, en fait, n’a pas été empalé : il n’y a pas eu pénétration du trou du cul de Félix par le pieu, mais simplement simulation de sodomie en plaçant l’objet entre les jambes du macchabée exhibé. » Cette citation sera coupée au montage. En l’apprenant, Polac menace de mener une action en référé. La chaîne opère alors un savant repli stratégique et annule la diffusion. « La crudité des propos repris par Polac pose un problème sur une chaîne à vocation éducative, à une heure de grande écoute, explique Benoît Charpentier, le rédacteur en chef de l’émission. Je peux comprendre son agacement, mais je pense que l’escamotage de ce passage n’affadissait pas l’échange ni ne diluait la responsabilité d’un écrivain comme Nabe. » La direction de la chaîne invoque quant à elle des « problèmes juridiques » pour justifier la suppression de l’émission.
Michel Polac estime au contraire que la censure de la citation a réduit l’altercation à une querelle de salon, « manière de faire la promotion d’un livre. » Il estime que les jeunes téléspectateurs de La Cinquième doivent entendre ce type de passage pour bien comprendre à quel genre d’écrivains ils ont affaire. Polac met aussi en cause les grandes maisons d’édition (Fayard et Rocher) qui publient les ouvrages de Camus et de Nabe : « Il ne s’agit pas de quelque obscure officine d’extrême droite, mais d’éditeurs qui ont pignon sur rue ! »
Nabe, dans un communiqué envoyé à la presse, présente une autre version de l’affaire : « Si Polac a tout fait pour censurer Ripostes, c’est parce que la co-animatrice de Serge Moati a trouvé légitime de lire un peu de son journal intime à lui. » Un extrait dans lequel Michel Polac raconte avoir éprouvé un émoi sexuel pour un jeune garçon assis sur ses genoux. « Ce vaniteux susceptible, poursuit Nabe, m’en veut parce que j’ai révélé à quel point les éditeurs qui le publiaient méprisaient sa prose et se foutaient de sa gueule en tant qu »écrivain »… »
Reste qu’on peut se poser la question : est-il pertinent pour une émission de télé d’inviter des auteurs sur son plateau quand on considère que leurs écrits sont indiffusables ?
Une minute sauvée de la fameuse émission « Ripostes » de Serge Moati censurée par Michel Polac en juin 2000. Le débat l’opposait à Marc-Edouard Nabe et comme on voit ici, lorsque Dorothée Woillez a essayé de lire un extrait pédophilique de son journal publié, Polac l’en a empêché. Ce dégoûtant personnage, qu’on a vu récemment sur ce même sujet s’affronter à Daniela Lumbroso dans l’émission de Laurent Ruquier, bénéficicie encore aujourd’hui d’une impunité insensée puisqu’il est toujours à l’antenne. Si Polac trouve qu’on « exagère » quand on dit qu’il a eu une expérience sexuelle avec un enfant, qu’on en juge en lisant sa « prose »:
« Comment voulez-vous qu’on ne devienne pas fou furieux de rage en face de la complicité des élites de ce pays avec la pire racaille qui soit ? »
Le 11 octobre 1999, l’Ecran Témoin de la RTBF s’est déroulé sans son habituel “débat”
Son thème était : “Dutroux est-il un pervers isolé ?”. Le débat n’a pas eu lieu parce que plusieurs intervenants se sont désistés et que le pla- teau ne pouvait plus être “équilibré”.
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xm8zzf_intro-pure-fiction_news[/dailymotion]
Thierry Meyssan analyse une certaine conception nazie de l’homosexualité. La deuxième partie de cet article révèle les complicités qui ont permis, depuis des années, aux représentants en France de l’extrême droite pédophile d’échapper aux poursuites judiciaires.
Enquête réalisée par Bruno Fouchereau
Samir Aouchiche… un gamin de onze ans de banlieue… sa mère est alcoolique, ses frères n’en ont rien à fou*** de lui et il s’ennuie… on lui propose un bonheur total, il rencontre des gens formidables et aisés qui lui promettent monts et merveilles… seulement… dans cette triste société, tout se paie. C’est ainsi qu’au nom de Smir Karo, guerrier de l’Alliance Kripten, il est torturé, prostitué, harcelé… il assiste à des rituels sadiques de véritable perversion sexuelle passant par la torture et la drogue… il sombre petit à petit jusqu’à ne plus se souvenir du jeune Samir qu’il était. Le Samir peu aisé et gentil a été nié pour faire place au Smir puissant, supérieur, violent le jour et pleurant la nuit… il ne parle plus, il crie la nuit, ses cauchemars sont ignobles et sans fin… jusqu’au jour où une main se tend. Willy Marceau, jeune homosexuel d’environ dix-neuf ans. C’est un coup de foudre et Samir renaît au fil du temps et se laisse bercer par cette nouvelle idylle qui lui donne l’espoir de s’en sortir… mais il ne peut rien dire. Sinon, les dirigeants de la secte tueront Willy et entraîneront un des frères de Samir dans ce réseau de prostitution enfantine planétaire (USA, Grande-Bretagne, France, Belgique, Algérie, …). Alors, il se tait. Jusqu’à ce que Willy mène son enquête pour comprendre les raisons de ces sanglots qu’il perçoit la nuit et contre lesquels il ne peut rien faire…