Bill Schnoebelen est l’auteur de sept livres. Il a été prêtre sataniste et vaudou, un haut membre de l’église de Satan, un gourou du Nouvel Âge, un occultiste, un sorcier, un Chevalier Templier, un membre des Illuminatis et un franc-maçon . Dans cette conférence destinée à un public ayant eu des contacts avec la franc-maçonnerie, il démontre preuves à l’appui que les loges maçonniques n’oeuvrent pas au bien être de l’humanité, que du contraire! Il vous révèle dans cette émission tous les secrets diaboliques de cette société secrète.
Le rapporteur de l’ONU Juan Miguel Petit déclare :
« Il y a eu des plaintes et des dénonciations précises de mères qui se disent poursuivies par des groupes, pouvant être assimilés à des mafias ou à des loges, organisant la pornographie infantile. »
Contre les réseaux de connivence orchestrés par certains membres de l’institution judiciaire et devant l’inertie du Ministère de la justice un reportage a été réalisé dénonçant les graves dérives de la justice qui spolient les justiciables en violation de la loi.
Qu’y a-t-il au-delà de la franc-maçonnerie ? Telle est la question sur laquelle les investigateurs se penchent depuis des décennies, et Craig Heimbichner y apporte des réponses passionnantes avec ses profonds coups de sonde dans les arcanes de l’Ordo Templi Orientis (Ordre du Temple de l’Est) ou O.T.O., la plus haute société secrète vers laquelle l’élite des francs-maçons migre tôt ou tard dans le cadre d’un processus de succession occulte. Heimbichner braque le projecteur non seulement sur une société secrète puissante et largement méconnue jusqu’alors, mais avant tout sur le processus de commandement qui la guide. Du Sang sur l’Autel dévoile le mécanisme thélémique interne qui se cache derrière la façade d’une telle organisation ; cet ouvrage est donc recommandé à quiconque étudie sérieusement la manière exacte dont les élites clandestines accèdent et se maintiennent au pouvoir.
Thierry ARDISSON, en présence de Joey STARR et d’Elisa TOVATI, reçoit Marie LAFORET sous le nom de madame de LAVANDEYRA à propos l’affaire Didier SCHULLER et de ses soupçons quant à l’implication de son mari, Eric de LAVANDEYRA, dans cette affaire.
Publié pour la première fois dans Journal of OrthomolecularMedicine, Vol.5, no 1, 1990
Traduction Google
Introduction
L’hypothèse adrénochrome de la schizophrénie (Hoffer, Osmond et Smythies, 1954), a été stimulée par les travaux d’Osmond et Smythies (1952) qui se sont concentrés sur les dérivés méthylés de l’adrénaline en tant que possibles schizophrénogènes en dogènes. Ils ont montré que l’expérience qui a suivi l’ingestion de la mescaline était à bien des égards similaire à l’expérience induite par la schizophrénie chez des personnes normales. Cela a attiré l’attention sur les dérivés de l’adrénaline (et de toutes les amines sym-pathomimétiques et de leurs précurseurs) comme facteurs étiologiques. Cependant, en 1952, très peu de ces composés avaient été étudiés. Avec nos ressources, nous avons été contraints de limiter nos études à un seul dérivé, l’adrénochrome, un dérivé oxydé et coloré de l’adrénaline. La chimie était si peu connue qu’il n’était pas surprenant que les chimistes aient conclu, à tort, qu’elle était intrinsèquement instable et difficile à étudier. Nous avons consacré une grande partie de nos recherches chimiques à cette substance intéressante. En conséquence, sous la direction du Dr R. Heacock (1959, 1965), un énorme corpus de données a été recueilli et publié détaillant la chimie de l’adrénochrome, sa synthèse, son métabolisme, sa conversion en d’autres produits et ses réactions avec des substances comme l’acide ascorbique.
En prenant possession de la loge de Béziers, sous le gouvernement du Maréchal, en 1941, la police découvrit le cadavre d’une fillette âgée d’environ sept ans.