Attention! Contenu très explicite. Apologie de la pédophilie.
Il y a quinze jours, France-Soir paraissait avec en première page un grand titre sur « une écœurante affaire de mœurs » où un soit-disant éducateur aurait livré à la prostitution internationale des régiments de gamins. L’information reprise par la presse et la TV, concernant cette affaire Dugué » venait d’une seule source : Minute. Pas un journal, pas un journaliste, excepté Libération ne se donnait la peine de vérifier les inculpations contre Dugué : en fait, ni prostitution ni proxénétisme, mais un simple attentat à la pudeur sur mineurs sans violences. Aucun journal n’a d’ailleurs publié de rectificatif. Dugué, qui nous a fait parvenir la lettre qui suit, gagnerait tous les procès en diffamation s’il les intentait. Mais Dugué a décidé de se défendre seul, refusant le concours de tout avocat. Comme l’a écrit Le Monde avec une lourde ironie, Dugué écrit en effet des « thèses sur la pédophilie », comme en témoigne cette lettre. Son univers, celui des couples échangistes, qui se passent des photos d’enfants, sa franchise quant à la sodomie sont d’un langage différent de la pédérastie plus intellectuelle ou artistique. Mais cet homme, voué pendant trois jours à la vindicte publique comme le monstre absolu par les plus puissants médias sur la base d’informations parfaitement erronées, a bien gagné le droit à l’expression depuis sa prison.
Un des 25 reportages produits et présentés par Didier de Plaige sur Antenne 2 (1977-1978).
Dans le cadre de l’émission « Aujourd’hui Magazine » présentée par Henri Slotine, Didier De Plaige avait également été chargé d’organiser le plateau des invités. C’est la première fois que les méthodes de la secte sont exposées sur un media public.
Les réseaux pédophiles tels que les a révélés l’affaire Dutroux sont parfois patronnés par des sectes d’inspiration satanique. Elles se livrent sur les enfants que leur procurent des rabatteurs à des rituels sadiques qui peuvent aller jusqu’à la mise à mort. Ces horreurs ont été vécues par le jeune Samir, enlevé à Paris par la secte Kripten. Elles sont rapportées en détail dans un livre bouleversant, « L’enfant sacrifié à Satan », qui viens de paraître aux éditions Filipacchi. Le jeune Samir a entre-temps été entendu par la justice belge. Notre collaborateur Michel Peyrard a interviewé l’auteur du livre.
« Les 27, 28 et 29 janvier, devant la cour d’assises des Yvelines vont comparaître pour attentat à la pudeur sans violence sur des mineurs de quinze ans, Bernard Dejager, Jean-Claude Gallien et Jean Burckardt, qui arrêtés l’automne 1973 sont déjà restés plus de trois ans en détention provisoire. Seul Bernard Dejager a récemment bénéficie du principe de liberté des inculpés.
François CHALAIS critique violemment le dernier film de l’écrivain cinéaste italien Pier Paolo PASOLINI « Salo ou les 120 journées de Sodome ». Images d’archive INA
Institut National de l’Audiovisuel
Titre d’origine: « Salò o le 120 giornate di Sodoma »
Durant la République fasciste de Salo, quatre seigneurs élaborent un règlement pervers auquel ils vont se conformer. Ils sélectionnent huit représentants des deux sexes qui deviendront les victimes de leurs pratiques les plus dégradantes. Tous s’enferment alors dans une villa près de Marzabotto afin d’y passer 120 journées en respectant les règles de leur code terrifiant.
Dans les années septante, Daniel Cohn bendit vit à Francfort et travaille dans une crèche alternative. Dans l’émission de la TSR « Destins » en 1975, il tiens des propos plus qu’ambiguës sur ses rapports avec les enfants:
En septembre 1975, Bernard Pivot l’invite pour la première fois dans son émission Apostrophes, l’année même de la création de celle-ci, pour son livre Les moins de seize ans. Au cours de cette émission, une enseignante qui venait de fonder une association pour la défense des droits de l’enfant, Jeanne Delais, conteste fermement les thèses de Matzneff (tout en s’efforçant de préserver l’amour-propre d’écrivain de ce dernier).
Jack Carter est un tueur froid et méthodique travaillant pour le « milieu » londonien. Lorsqu’il apprend la mort de son frère Frank, il retourne à Newcastle où ce dernier vivait, et où lui-même a grandi. Très vite, il s’aperçoit qu’en dépit des apparences cette mort n’est pas accidentelle comme l’a conclu le rapport de police.Il mène sa propre enquête, ce qui dérange les activités de Kinnear et Brumby, deux pontes rivaux contrôlant divers trafics derrière une façade respectable. Carter découvre que sa nièce Doreen a été abusée dans une vidéo pornographique amateur et que c’est Margaret, la compagne du père de Doreen, qui a joué le rôle de rabatteuse. Comme il menaçait de dénoncer l’implication des chefs du milieu dans le tournage du film, Frank Carter a été tué par Pierce, le chauffeur de Kinnear.Carter venge son frère en éliminant les maillons les uns après les autres, qu’ils aient pris une part active ou qu’ils aient laissé faire. Quand il a enfin achevé Pierce, il est abattu par un tueur à gages lancé à ses trousses par Kinnear.
Extrait du chapitre premier – « Histoire d’un grand lama ignorant qui renaquit comme ânon malgrè le dévouement d’un saint-homme qui s’efforça de lui offrir l’occasion d’une naissance humaine »