Le pédo-satanisme est-il la conséquence de pratiques rituelles liées à une élite maçonnique ? Aujourd’hui, Bill Schnoebelen, ancien haut-représentant de l’Église de Satan, affirme que la Franc-maçonnerie pratique le pédo-satanisme comme rite initiatique du 33e degré du Rite écossais ancien et accepté. Dans Morals and Dogma, en 1871, Albert Pike, un des « pères » de la Franc-maçonnerie, atteste que « la religion devrait être, pour nous tous, initiés de hauts grades, maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne. Oui ! Lucifer est Dieu. » Et, en 1900, le grand mage Aleister Crowley, initié au 33e degré, avoue dans Magick in theory and practice, le sacrifice de cent cinquante enfants par an, entre 1912 et 1928. D’ailleurs, en 1941, la police trouve le cadavre d’une fillette dans une loge, à Béziers. En 1998, des squelettes d’enfants sont découverts sous la maison londonienne de Benjamin Franklin, rédacteur de la Constitution américaine, Franc-maçon et adepte du Hell Fire Club.
Les casques bleus déployés en Haïti ont entretenu des relations sexuelles «transactionnelles», échangeant de la nourriture et des médicaments contre des faveurs sexuelles, avec plus de 200 femmes et jeunes filles mineures, selon le premier jet d’un rapport que s’est procurée l’agence Associated Press, qui dit aussi que cette estimation est très inférieure à la réalité.
Comme certains mauvais esprits (c’est un euphémisme) mettent en doute sur le net et facebook l’existence de 12 enfants violés et indemnisés après les procès d’Outreau en 2004 et 2005 (Saint-Omer puis Paris), je vous livre ci-joint le document officiel qui en fait état.
La police britannique a annoncé ce mercredi que plus de 1400 pédophiles présumés avaient été identifiés dans le pays. Parmi eux, des personnalités publiques.
«Voici le film que Hollywood ne veut pas que vous voyiez.» C’est sur ces mots que s’ouvre le documentaire An Open Secret, de l’Américaine Amy Berg. Présenté hier au Marché du film de Cannes, ce long métrage troublant donne une voix à cinq jeunes hommes qui rêvaient, petits, de devenir acteurs, chanteurs, stars. Des enfants aux grands espoirs, abusés par des agents jouissant d’une inébranlable impunité à L.A. «Ce que nous montrons, ce n’est que la pointe de l’iceberg», a noté le producteur du film, Gabe Hoffman, après la projection.
Dans le prestigieux collège Montaigne à Paris, des élèves de 6e ont commis des attouchements sur des filles de leur classe.
Au collège Montaigne à Paris, des garçons de 6e ont commis des attouchements sexuelles sur des camarades de classe au mois d’avril. Ces élèves de 11 ans auraient regardé des vidéos pornographiques dans la cour de l’école avant d’agir. Les étudiants des classes supérieures dénoncent tous les actes de leurs camarades et mettent en cause l’utilisation des smartphones dès la 6e. Une mère de famille considère elle qu’il faut une meilleure vigilance de la part des adultes. « À partir du moment où on a un smartphone, on a accès à tout, après c’est l’utilisation qu’on veut en faire, et ce que les parents peuvent donner comme autorisation à leurs enfants », exprime-t-elle au micro de France 3.
En ce mois d’avril 2015, on a parlé de la petite Chloé, enlevée, violée et tuée à Calais par un pervers, et aussi des pédophiles dans l’Education nationale. En effet, presque chaque jour on apprenait qu’un nouveau prof/ éducateur/ surveillant ou autre venait d’être suspendu ou même condamné pour des faits de pédophilie. On a aussi commencé à parler de ces enfants Centrafricains violés par nos soldats, de Jimmy Savile et de ses amis pédophiles, d’impunité (beaucoup), de majorité sexuelle au rabais, de « morale » et des pédophiles, de parents proxénètes et producteurs de pédopornographie… Et puis, l’affaire dite d’Outreau est revenue dans l’actualité, suite au démarrage d’une campagne de propagande. Bref, c’était un mois comme les autres.
Anders Kompass,est le cadre de l’ONU à l’origine de la fuite du document accusant des soldats d’avoir violé des enfants en Centrafrique. Sur les réseaux sociaux beaucoup se félicitent qu’il ait rendu public ces accusations. Mais l’ONU lui refuse le statut de « lanceur d’alerte », et conteste la version des faits selon laquelle il a transmis le rapport après avoir constaté que l’ONU tardait à agir. Le président français a promis d’être implacable « si certains militaires se sont mal comportés »…