Tous les articles par Alf Red

France 2, Tout le monde en parle Les explications d’ Antoine Schuller

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Antoine SCHULLER est l’invité de Thierry ARDISSON pour la rubrique « Tout le monde s’explique ». Il est accompagné du journaliste Jean-Paul GUILLAUME qui a réalisé la première interview dans laquelle Antoine faisait un certain nombre de révélations sur son père Didier et en particulier sur l’endroit où il se cache. Thierry ARDISSON rappelle le parcours de l’homme politique, accusé d’abus de biens sociaux et de trafic d’influence dans l’affaire des HLM des Hauts de Seine, en fuite pour échapper à la justice. Il vivrait désormais à Saint-Domingue en toute impunité car il aurait lui-même menacé de faire des révélations sur Charles PASQUA et Jacques CHIRAC.

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France 2, Tout le monde en parle Saskia Mulder au sujet de sa soeur Karen

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Thierry ARDISSON reçoit la soeur de Karen MULDER, Saskia, qui fut également mannequin, dans une rubrique « Tout le monde s’explique ». En effet, en octobre 2001, l’animateur est contacté par Karen MULDER car elle a des révélations à faire sur l’agence Elite. Il la reçoit pour l’émission du 31 octobre 2001. Découvrant rapidement qu’elle n’est pas dans un état normal mais dans un délire paranoïaque, accusant un certain nombre de personnalités de l’avoir violée sous hypnose, Thierry ARDISSON décide d’arrêter l’interview et en accord avec la production de ne pas la diffuser. La famille MULDER fait interner Karen dans une clinique pour la soigner. Des « fuites » ayant eu lieu sur internet et dans la presse, la rumeur s’amplifiant de façon mensongère, sa soeur est là pour témoigner de la réalité : Karen va mieux, elle est soignée et n’a jamais eu d’épisode délirant auparavant. Elle a fait une dépression après avoir arrêté sa carrière de mannequin, elle est donc suivie depuis mais reste fragile. La jeune femme demande donc aux médias de ne pas créer une « affaire » là où il n’y en a pas. Un extrait musique générique « Les dossiers de l’écran » en off

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L'Humanité Incroyable, donc faux ?

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Ce n’est pas la première fois que des adultes ou des mineurs affirment avoir participé ou assisté à des viols collectifs d’enfants qui s’achevaient par leur mise à mort. Aucune enquête digne de se nom n’a été menée pour vérifier le bien-fondé de ces déclarations, en fonction d’un dogme effarant : c’est incroyable, donc c’est de l’affabulation. Sans se demander, par exemple, comment des mineurs très jeunes pouvaient inventer des scènes (et pourquoi l’auraient-ils fait ?) qui ressemblent fort à ce que nous savons des messes noires. Voici quelques extraits de témoignages qui sont restés méprisés par la justice. Nous avons simplement changé les prénoms de ceux qui ont voulu briser le silence : Fabrice, cinq ans, évoque les cérémonies auxquelles son père l’emmenait :Question :  » Y avait-il d’autres enfants dans ces réunions ?  »  » Oui.  »  » Et quel âge avaient-ils ?  »  » Oh, je sais pas, moi. De deux jusqu’à quinze ans, parce qu’à quinze ans, ils les tuaient. Ah, j’ai oublié de dire cette partie. Un jour, ils m’avaient montré un enfant qui était mort, qui avait quinze ans, et il était dans un genre de truc que tu mets dans les cimetières, tu sais, ce genre de boîte que tu mets les gens dedans, tu fermes la boîte et tu les mets dans le cimetière.  »  » Et est-ce que tu connaissais cet enfant ?  »  » Non, mais après, ils m’ont dit quand tu auras quinze ans ce sera pareil pour toi.  »  » Est-ce qu’ils t’ont dit pourquoi ?  »  » Non, mais j’ai compris pourquoi. Parce qu’ils tuent chaque enfant juste qu’ils ont quinze ans, parce qu’après il y a un drôle de truc qui est ? ? ? ? ? ?.  »  » Combien d’adultes étaient dans ces réunions, à peu près ?  »  » · peu près, j’sais pas, moi. Y en a dans les quinzaine, vingtaine, douzaine ou onzaine. « …  » J’avais pas parlé (à ma mère) parce qu’ils avaient dit qu’ils allaient me tuer si je parle.  »  » Ça t’a fait peur, quand ils t’ont dit ça ?  »  » Oui. Et C. m’avait attaché pour que M. puisse me taper.  »  » Est-ce que M. t’a tapé ?  »  » Oui, et l’électricité aussi  »  » Où est-ce qu’il t’a tapé ?  »  » Sur la tête . »Malgré les nombreux certificats médicaux qui attestent des violences subies par Fabrice, un jugement imposera un droit de visite au père. Condamnée à de la prison ferme pour non-présentation d’enfant, la mère a fui avec son fils à l’étranger.

Autre affaire. Paul, douze ans, dénonce plusieurs membres de sa famille agissant au sein d’un groupe sectaire, de tendance sataniste :  » Ma marraine est entrée avec un bébé de quelques mois et elle l’a donné au grand-père. Le grand père a fait passer le bébé et il m’a donné un grand couteau avec des signes comme des lettres en bâton. Il m’a pris la main et il dirigea le couteau vers le bébé et on a tué le bébé. Il a récupéré le sang et nous l’avons bu un à un. Le grand-père m’a emmené dans l’ancienne maison de sa mère. Il a posé le bébé sur le lavabo en pierre et a repris le même couteau qu’il avait pris pour la cérémonie du sacrifice, il a récupéré une fois encore le sang et a commencé à découper l’enfant. ».

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Le Parisien Enquête sur un réseau pédophile à Angers

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LE DRAME D’OUTREAU rappelle étrangement une autre affaire aujourd’hui entre les mains de la justice française et suisse. Le 15 novembre dernier, la cour d’assises du Maine-et-Loire a condamné respectivement à douze ans et à seize ans de prison Georges Liaigre et son ex-femme Marie-Pierre Collasseau, originaire de Jallais, près d’Angers, pour les viols entre 1984 et 1997 de leurs trois filles.

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Libération «Des propos manifestement délirants»

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Pour Samir Tilikète, psychiatre au centre d’addictologie de Limeil-Brévannes, les déclarations de Karen Mulder dans VSD sont «des propos manifestement délirants qui relèvent du secret médical». «On n’a pas le droit de les publier, poursuit le praticien, c’est du people putassier, une démarche quasi pornographique. Et c’est irrespectueux de la personne humaine.» Et de préciser: «Il est impossible d’attribuer la moindre véracité à de tels propos. Ils ne sont ni vrais ni faux. Ce sont soit des constructions totalement inventées, soit nourries de faits réels, vécus par la personne ou empruntés à son entourage, ou bien lus ou vus à la télé. Ce n’est que lorsque l’état du patient s’améliore que le tri pourra intervenir au sein de la relation avec le médecin.» L’hospitalisation abusive de Karen Mulder? «Il s’agit là d’une projection fantasmatique d’une psychiatrie qui n’existe plus. L’hospitalisation à la demande d’un tiers (HDT), lorsque la personne peut être dangereuse pour elle-même et son entourage, est très codifiée. Elle est réévaluée à intervalles réguliers. Et le patient dispose à tout moment d’un recours devant une commission, s’il juge qu’il y a abus», rappelle ce psychiatre.

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Libération / VSD Affaire Karen Mulder: «VSD» crée la polémique

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En janvier, le journal a publié l’interview confuse du top model.

«Le cri de détresse d’un grand top model.» Tel est le titre très accrocheur monté à la une par le journal VSD, dans son édition du 3 au 9 janvier. Le grand top model n’est autre que Karen Mulder, 33 ans, icône des années 90, très appréciée en France pour ses participations à la tournée des Enfoirés. Dans l’entretien qu’elle a accordé à l’hebdomadaire, le mannequin d’origine hollandaise égrène une litanie d’épisodes qu’elle aurait vécus. Tous plus douloureux les uns que les autres: abus sexuels pendant la petite enfance, viols répétés commis par son entourage et des personnalités du show-biz.

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Technikart n°58 Docteur Justice

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Sur France 3, Pascale Justice enquête depuis plusieurs années sur les réseaux pédophiles. Un parcours du combattant qui dérange pas mal de monde.

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Le Parisien Affaire Karen Mulder: ouverture d’une information judiciaire

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Titre d’origine: « L’affaire Karen Mulder »

UNE INFORMATION judiciaire contre X pour viols a été ouverte le 20 novembre par le parquet de Paris, suite à un dépôt de plainte de Karen Mulder, et confiée au juge d’instruction parisien Jean-Pierre Gaury. L’ex-mannequin, 31 ans, d’origine néerlandaise, avait effectué courant octobre une série de dépositions au commissariat de la 1 r e DPJ (direction de la police judiciaire) mettant en cause un membre de son entourage ainsi qu’un certain nombre de personnalités qui, selon elle, l’auraient agressée sexuellement.

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L'Humanité Combien d’enfants disparaissent chaque année ?

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Robert Hue vient d’interpeller Marylise Lebranchu, Garde des Sceaux, en lui demandant le chiffre  » des disparitions annuelles de mineurs de moins de quinze ans en France métropolitaine, mais aussi dans les départements et les territoires d’outre-mer, pour les dix dernières années, en évoquant non pas les fugues mais les seuls cas d’enfants dont on n’a plus aucune nouvelle « . L’initiative du député du Val-d’Oise peut sembler étonnante, mais elle pointe une étonnante carence dans le domaine des statistiques : si le nombre de ces disparitions de mineurs existe, il n’est pas rendu public. Pourquoi cette opacité que l’on retrouve dans la plupart des pays de l’Union européenne ? Les seules données chiffrées que nous avons pu exhumer remontent à 1982 et font frémir : 2 232 mineurs de treize à seize ans et 78 enfants de moins de treize ans auraient disparu, en France, cette année-là, sans laisser de traces ! Quelles enquêtes ont été menées pour les retrouver ? On reste sidéré par le contraste qui existe entre la surmédiatisation de quelques cas de disparitions de mineur(e)s et la chape de plomb qui pèse sur ce phénomène massif, s’il est confirmé. Sans doute est-on loin des chiffres rendus publics au Mexique, en juillet dernier. Selon Jose Luis Santiago Vasconcelos, procureur général en charge du crime organisé à Mexico, 130 000 petits Mexicains ont disparu au cours des cinq dernières années. Il parle de réseaux de prostitution, d’industrie pédopornographique et de trafics d’organes. Jusqu’à quel point la France échappe-t-elle à ces trafics ? Peu après avoir révélé l’affaire du cédérom pédocriminel de Zandvoort (Hollande) en février 2000, par dizaines des parents ont contacté l’Humanité pour visionner le fichier établi à partir de ce cédérom. Un document conçu par la police néerlandaise, transmis à Interpol et pourtant inexploité par la police française. Parmi ces parents, une mère lyonnaise à la recherche de son fils, six ans, disparu à la sortie de l’école. Aucune enquête sérieuse n’avait été lancée car les policiers avaient décrété qu’il s’agissait d’une fugue. Avant de passer à l’Humanité pour visionner le fichier, cette mère avait fait un détour par la Brigade des mineurs pour d’éventuelles nouvelles.  » C’est une fugue ! « , lui a-t-on répété. Au bord des larmes, elle nous a confié :  » Mon fils a disparu il y a vingt-six ans et ils me répètent toujours la même chose. « Robert Hue justifie sa demande en ces termes :  » Plusieurs affaires en France, aux États-Unis, en Grande-Bretagne, en Italie, en Russie et ailleurs ont mis en évidence l’existence de réseaux pédocriminels nationaux et transnationaux. Il est cependant difficile d’apprécier aujourd’hui l’ampleur du phénomène car nous ne disposons pas de chiffres et de données statistiques officiels dont la connaissance paraît pourtant indispensable à la recherche de solutions adaptées à cette criminalité d’une nature particulièrement abjecte. « 

Serge Garde

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L'Humanité Angers: Derrière les bourreaux, un réseau

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La cour d’assise d’Angers a condamné à seize et douze ans de prison les parents proxénètes de leurs quatre filles.Seize ans de prison pour la mère tortionnaire, quarante-trois ans, incestueuse et proxénète de ses filles, douze ans pour le père, quarante et un ans, bourreau violeur de ses enfants. La cour d’assises d’Angers (Maine-et-Loire) n’a eu aucune indulgence pour le couple L., dont le sadisme a transformé l’enfance de leurs quatre filles en un enfer quotidien, pendant plus de onze ans : coups et blessures, humiliations, dénutrition, privation des soins les plus élémentaires, viols dès l’âge de cinq ans. L’horreur se lisait sur le visage des jurés tout au long des trois jours de ce procès, jugé en la seule présence des journalistes. Comment ces gamines ont-elles pu survivre, régulièrement battues, sommées de rester des dizaines d’heures debout mains sur la tête, jetées presque nues dans le jardin, la nuit en plein hiver ? Des enfants objets de la perversion de leurs parents, et des désirs des  » clients « . Au su de tout le village, près de Cholet. Plusieurs témoins confirment la rumeur selon laquelle les filles L.,  » on pouvait se les faire « . Et pourtant le martyr des enfants s’est éternisé de 1986 à 1997, sans qu’aucun signalement n’aboutisse. Procès étouffant. Le président Vermorel répète :  » Nous sommes là pour juger ceux-là et rien d’autre. « . Mais le couple L. paraît bien seul dans le box. Où sont les clients, violeurs de mineures de moins de quinze ans ? Claquement de talons, salut militaire, le gradé de la gendarmerie, H., soutient à la barre qu’il n’a rien vu et que Caroline (1), l’aînée des victimes, affabule. Caroline se lève :  » Il ment ! « . Le gendarme H. est accusé par Caroline d’être le protecteur du réseau de prostitution. Or c’est lui qui  » s’occupait  » de l’enquête. De tous les clients dénoncés par les victimes, seul l’un d’eux attend d’être jugé. En correctionnelle, car ses viols ont été décriminalisés. Caroline est l’une des enfants identifiés sur le cédérom pédosexuel trouvé à Zandvoort (Hollande), dont nous avions révélé l’existence. Elle y a reconnu cinq autres mineurs de la région. Quel est le lien entre le Maine-et-Loire et la Hollande ? Cela aurait dû être établi par la juge Ringot qui instruit l’affaire du cédérom, à Paris. Le procès d’Angers, prévu en 2000, a même été repoussé pour cette raison.  » J’ai écrit plusieurs fois au juge Ringot, mais elle n’a jamais répondu « , proteste Me Salquain, avocat de la mère. Pourquoi ce blocage ? Pourquoi l’instruction, à Angers, a-t-elle réduit le dossier à une affaire de parents maltraitants et de proxénétisme sans client ? Le verdict aurait pu être plus lourd si Caroline n’avait demandé l’indulgence du jury :  » Ce sont mes parents, je les aime.  » Pour Jean Claude Disses, l’avocat de Caroline,  » justice a été rendue aux victimes, mais l’essentiel, le réseau, n’a pas été jugé « . Fait significatif, l’avocat général Rudy a fait immédiatement appel, afin que le futur procès soit aussi celui du réseau.

Serge Garde

*L’identité de la victime a été modifiée.

Source: http://www.humanite.fr/node/255697 Suite ...

L'Express Qui veut la peau d’Elite?

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Depuis deux ans, un flot de rumeurs à scandale fait vaciller la célèbre agence de top models, n° 1 mondial. Ses dirigeants contre- attaquent. L’Express a mené l’enquête

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(France 2, Tout le monde en parle) Karen Mulder fait des révélations explosives sur l’agence Elite et les viols qu’elle a subi

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Émission censurée et introuvable

Tout le monde a en mémoire les remous provoqués dans la presse par l’émission censurée de Thierry Ardisson du 3 novembre 2001, « Tout le monde en parle ». Les invités étaient, entre autres, Karen Mulder et Ophélie Winter. Paradoxalement, la production décida de censurer ce dont tout le monde parla à l’époque.

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