/!\ Avertissement : cet article est extrêmement violent /!\
1 – D’après un article de Shad Olson, auparavant relégué bien au-delà de la sensibilité et de la compréhension du grand public.
2 – Une sécrétion endocrinienne humaine naturelle devient le centre d’attention des gens qui s’éveillent à l’élargissement du scandale Jeffrey Epstein et au réalignement tectonique de la perception humaine qui se cache sous la surface de cette procédure judiciaire et de ses sous-entendus sur
Kendall prétend qu’elle a été vendue par ses parents à la naissance à un puissant trafiquant international d’esclaves sexuel. Elle raconte quand elle était enfermée dans une cage avec d’autres enfants enlevés, ou quand elle voyageait dans le monde entier dans des avions privés, pour être vendue à des hommes riches et puissants.
Pour la première fois dans le monde francophone, un livre tente d’explorer les sujets complexes que sont les abus rituels traumatiques et le contrôle mental qui en découle. Il s’agit ici d’approfondir la lourde question de la pédocriminalité élitiste, aussi appelée le pédo-satanisme.
Titre d’origine: « Son fils (13 ans) tente de la violer puis la tue. Le père croit à une blague »
Le procès de Noah Crooks, aujourd’hui âgé de 14 ans, s’est ouvert pour le meurtre de sa mère Gretchen, le 24 mars 2012 à Osage (Iowa). La nuit du drame, l’adolescent avait envoyé un SMS à son père William (41 ans). «Papa, c’est Noah. J’ai tué maman accidentellement. Je regrette. Rentre à la maison maintenant».
L’un des douze enfants victimes de viols s’accuse du meurtre d’une fillette qu’il aurait commis sous la menace de trois adultes acquittés dans le dossier.
Simple adolescents, ils n’avaient même pas encore l’âge de voter lorsqu’ils ont commis les crimes les plus sanglants de l’histoire (officielle). Par vengeance, rancœur, par jalousie ou simple haine de leur entourage, ces enfants ont pris la vie de leurs parents ou de leurs proches sans parfois même le regretter. Comment ces jeunes ado ont ils pu se transformer en véritables monstres et commettre l’irréparable ? Comment expliquer de tels actes ? Et que sont devenus ces enfants tueurs ? Tellement Vrai a voulu faire la lumière sur les 15 crimes les plus atroces de l’histoire (officielle) commis par des jeunes (aux USA).
Ce n’est pas la première fois que des adultes ou des mineurs affirment avoir participé ou assisté à des viols collectifs d’enfants qui s’achevaient par leur mise à mort. Aucune enquête digne de se nom n’a été menée pour vérifier le bien-fondé de ces déclarations, en fonction d’un dogme effarant : c’est incroyable, donc c’est de l’affabulation. Sans se demander, par exemple, comment des mineurs très jeunes pouvaient inventer des scènes (et pourquoi l’auraient-ils fait ?) qui ressemblent fort à ce que nous savons des messes noires. Voici quelques extraits de témoignages qui sont restés méprisés par la justice. Nous avons simplement changé les prénoms de ceux qui ont voulu briser le silence : Fabrice, cinq ans, évoque les cérémonies auxquelles son père l’emmenait :Question : » Y avait-il d’autres enfants dans ces réunions ? » » Oui. » » Et quel âge avaient-ils ? » » Oh, je sais pas, moi. De deux jusqu’à quinze ans, parce qu’à quinze ans, ils les tuaient. Ah, j’ai oublié de dire cette partie. Un jour, ils m’avaient montré un enfant qui était mort, qui avait quinze ans, et il était dans un genre de truc que tu mets dans les cimetières, tu sais, ce genre de boîte que tu mets les gens dedans, tu fermes la boîte et tu les mets dans le cimetière. » » Et est-ce que tu connaissais cet enfant ? » » Non, mais après, ils m’ont dit quand tu auras quinze ans ce sera pareil pour toi. » » Est-ce qu’ils t’ont dit pourquoi ? » » Non, mais j’ai compris pourquoi. Parce qu’ils tuent chaque enfant juste qu’ils ont quinze ans, parce qu’après il y a un drôle de truc qui est ? ? ? ? ? ?. » » Combien d’adultes étaient dans ces réunions, à peu près ? » » · peu près, j’sais pas, moi. Y en a dans les quinzaine, vingtaine, douzaine ou onzaine. « … » J’avais pas parlé (à ma mère) parce qu’ils avaient dit qu’ils allaient me tuer si je parle. » » Ça t’a fait peur, quand ils t’ont dit ça ? » » Oui. Et C. m’avait attaché pour que M. puisse me taper. » » Est-ce que M. t’a tapé ? » » Oui, et l’électricité aussi » » Où est-ce qu’il t’a tapé ? » » Sur la tête . »Malgré les nombreux certificats médicaux qui attestent des violences subies par Fabrice, un jugement imposera un droit de visite au père. Condamnée à de la prison ferme pour non-présentation d’enfant, la mère a fui avec son fils à l’étranger.
Autre affaire. Paul, douze ans, dénonce plusieurs membres de sa famille agissant au sein d’un groupe sectaire, de tendance sataniste : » Ma marraine est entrée avec un bébé de quelques mois et elle l’a donné au grand-père. Le grand père a fait passer le bébé et il m’a donné un grand couteau avec des signes comme des lettres en bâton. Il m’a pris la main et il dirigea le couteau vers le bébé et on a tué le bébé. Il a récupéré le sang et nous l’avons bu un à un. Le grand-père m’a emmené dans l’ancienne maison de sa mère. Il a posé le bébé sur le lavabo en pierre et a repris le même couteau qu’il avait pris pour la cérémonie du sacrifice, il a récupéré une fois encore le sang et a commencé à découper l’enfant. ».
Voici le témoignage de Véronique Liaigre, diffusé sur TF1 le 5 juillet 2001 et qui avait mystérieusement disparu par la suite. Le sujet, bien trop lourd pour la chaîne, sera creusé dans notre vidéo de samedi et j’expliquerais les différentes ramifications entre plusieurs affaires et celle-ci. En attendant, voici un résumé de l’histoire de Véronique Liaigre ainsi que son témoignage vidéo…
Extrait du Geraldo Rivera Show du 22 octobre 1988 intitulé : « Adoration du diable: dévoiler les souterrains de Satan »
Kathleen Sorenson était travailleuse sociale, elle et son mari Ron formaient une famille d’accueil pour les enfants en grande difficulté. Au total, le couple a recueilli une trentaine de témoignages d’enfants qu’ils ont eu en garde de quelques mois à plusieurs années.