/!\ Avertissement : cet article est extrêmement violent /!\
1 – D’après un article de Shad Olson, auparavant relégué bien au-delà de la sensibilité et de la compréhension du grand public.
2 – Une sécrétion endocrinienne humaine naturelle devient le centre d’attention des gens qui s’éveillent à l’élargissement du scandale Jeffrey Epstein et au réalignement tectonique de la perception humaine qui se cache sous la surface de cette procédure judiciaire et de ses sous-entendus sur
Pour la première fois dans le monde francophone, un livre tente d’explorer les sujets complexes que sont les abus rituels traumatiques et le contrôle mental qui en découle. Il s’agit ici d’approfondir la lourde question de la pédocriminalité élitiste, aussi appelée le pédo-satanisme.
Dans les dossiers de justice liés aux affaires de pédocriminalité, les éléments psychologiques (qui ne font évidemment pas office de preuves) sont systématiquement utilisés pour décrédibiliser la victime. Ils permettent ainsi de classer les affaires sans mener de véritables enquêtes qui pourraient justement déboucher sur des preuves. En effet, la personne qui dénonce les abus est jugée psychologiquement instable, voir complètement déglinguée (et pour cause), donc sa parole est d’emblée jugée non crédible devant la justice… c’est justement sur ce point qu’il faut faire changer les choses et c’est bien là que se trouve tout l’enjeu concernant la parole et les témoignages de survivants. Pourquoi la justice ignore-t-elle les avancées en matière de psycho-traumatologie pour traiter les dossiers ? Un domaine pourtant crucial pour pouvoir aider les victimes et enfin comprendre comment fonctionne le système pédocriminel…