Kendall prétend qu’elle a été vendue par ses parents à la naissance à un puissant trafiquant international d’esclaves sexuel. Elle raconte quand elle était enfermée dans une cage avec d’autres enfants enlevés, ou quand elle voyageait dans le monde entier dans des avions privés, pour être vendue à des hommes riches et puissants.
Qui cherche à étouffer l’affaire Jacques Heusèle, cet assureur d’Arras qui s’est « suicidé » laissant derrière lui d’étranges carnets codés ? Comment Raymond Gouardo a-t-il pu violer et torturer sa belle-fille Lydia pendant 28 ans et dont six enfants sont nés de cette relation forcée sans jamais être dénoncé par les habitants du village ?
Pour la première fois dans le monde francophone, un livre tente d’explorer les sujets complexes que sont les abus rituels traumatiques et le contrôle mental qui en découle. Il s’agit ici d’approfondir la lourde question de la pédocriminalité élitiste, aussi appelée le pédo-satanisme.
L’idée de Marc Dutroux était de créer une colonie souterraine d’enfants enlevés, révèle mercredi dans un entretien accordé au Soir Mag Julien Pierre, son ancien avocat.
La violence et la torture rituelles ne sont pas définies par le Code criminel canadien. Et jusqu’à maintenant, on ne tient aucune statistique à cet égard au pays. Mais il s’agit de crimes bien réels. Jeanne Sarson et Linda MacDonald, deux infirmières et enseignantes de la Nouvelle-Écosse, ont reçu le récit de plusieurs centaines de victimes ayant survécu à cette forme de violence familiale ou collective organisée. Dans le présent article, elles définissent ce que sont la violence et la torture rituelles et offrent des renseignements qui pourraient aider la police à repérer les victimes de ces crimes atroces.