Le 25 janvier 2023.
Je soussignée Gladys Riffard, née le 22 avril 1978 à Bourg-de-Péage (26), vous demande d’urgence de l’aide suite à un crime d ́état.
Le 25 janvier 2023.
Je soussignée Gladys Riffard, née le 22 avril 1978 à Bourg-de-Péage (26), vous demande d’urgence de l’aide suite à un crime d ́état.
Attaqué en diffamation par Orange, suite à mes déclarations pendant l’émission « C dans l’air » d’Yves Calvi, le 5 avril dernier, nous avons fait, mon avocat, Me Richard Valeanu, et moi-même, l’offre de preuves, dans le délai légal.
Nous avons apporté les preuves de la véracité de mes propos concernant le viol d’une enfant de 13 ans et neuf mois, par un cadre d’Orange en Guinée Equatoriale ; le fait que l’enfant s’est retrouvée enceinte; qu’elle a donné naissance à un bébé; que ce bébé a été abandonné par son géniteur; et nous avons fourni plueirus preuves de l’implication d’Orange dans l’étouffement de l’affaire et l’impunité toujours actuelle de ce cadre-violeur.
Orange n’a pas fait, comme la loi le lui permettait, d’offre de contre preuves.
Comme je vous l’ai promis, je vous tiendrai informés de la suite de la procédure.
Merci aux premiers donateurs qui vont permettre, via mon Comité de soutien, de faire face aux frais judiciaires de cette procédure qui m’est imposée.
Merci à vous toutes et tous qui m’apportez un soutien actif dans cette épreuve.
Merci à Karl Zéro qui rejoint notre Comité de soutien.
Celles et ceux qui souhaitent participer à l’action citoyenne pour que la vérité éclate enfin sur les agissements d’Orange en Guinée Equatoriale, peuvent rejoindre le Comité de soutien créé par des ami-es proches. Pour faire face au marathon judiciaire qu’Orange m’impose, une souscription est ouverte.
Vous pouvez adresser vos dons par chèques à l’ordre de:
Orange amère.
France-télécom-Orange m’attaque en diffamation, après l’émission « C dans l’air » du 5 avril 2016, sur France 5. Entre autres, j’avais évoqué devant Yves Calvi et ses invités les viols répétés d’une enfant de 13 ans et 9 mois par un cadre d’Orange en Guinée Equatoriale.
Me Richard Valéanu, du barreau de Paris, assure ma défense.