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(Je défends mon enfant, Gladys Riffard) Communiqué de presse de Gladys Riffard, soutenu par d’autres mères victimes de désenfantement

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Le 25 janvier 2023.

Je soussignée Gladys Riffard, née le 22 avril 1978 à Bourg-de-Péage (26), vous demande d’urgence de l’aide suite à un crime d ́état.

En effet, je suis maman d’une fille née en 2015 et me bats depuis août 2018 pour protéger ma fille suite à des révélations de viols incestueux de la part de son géniteur (qui sont aujourd’hui avérés par l’Espagne).

Comme dans plus de 70% des cas, ma plainte a été classée sans suite. L’ONU, il y a déjà 20 ans, avait rendu un rapport de Juan Miguel Petit accusant la France de ne pas respecter l’intérêt supérieur de l’enfant en cas d ́allégations de sévices sexuels. (1)

Comme le prévoit l’article 122-7 du Code pénal sur l’état de nécessité et comme le préconise le juge Édouard Durand à la CIIVISE, j’ai refusé de présenter mon enfant au géniteur.

Pour chercher de l’aide, j’ai aussi fait :

- une pétition avec + de 99 000 signatures (2) ;
- une association qui lutte contre la pédocriminalité et les placements abusifs ;
- une fédération qui lutte contre toute maltraitance infantile ;
- médiatisé sur les réseaux sociaux avec + de 2 millions de vues (3) sur Twitter, + de 75 000 likes sur TikTok (4) , et un canal Telegram avec 1.1 k abonnés. (5)

Voilà TOUT ce qu’il m ́a fallu entreprendre pour être entendue, informer et dénoncer. Mais sans obtenir une protection de la justice française.

Maintenant, je parle au nom de plusieurs mamans, qui ont témoigné des mêmes cauchemars institutionnels suite aux plaintes contre INCESTE :

- Coralie Berne ;
- Corine Raynaud ;
- Dalila Sasok ;
- Émilie Desmettre ;
- Hélène Charotte ;
- Hélène Simon ;
- Kassandra Bourez ;
- Rachel Planquelle ;
- Sandrine Foubert ;
- Sandrine Gachadoat, sous la protection des Lois Divines inaliénables et imprescriptibles.
Sans préjudice, tout droit réservé ;
- Valérie Dumont Conte ;
- Viriyana Hernandez.

Mais, il y a actuellement d’autres histoires médiatisées comme :
- Priscilla Majani, soutenue par le CIDE ;
- Hanna Dam Stockholm, soutenue par Karl Zéro ;
- Pauline Bourgoin, médiatisée par Pauline Rongier ;
- Cynthia, avec le comité justicepourcj.

Ou d’autres mamans qui n’osent pas parler. Car en effet, il y a un même protocole à chaque plainte contre inceste. J’ai fait un sondage qui prouve que systématiquement les parents protecteurs sont désenfantés. (6)

Ni la parole de nos enfants n ́est écoutée.
Ni toutes les preuves que nous apportons à notre dossier de défense (retransmissions écrites de nos enfants, attestations de professionnels de santé, certificats médicaux, informations préoccupantes, rapports d’experts ordonnés par les juges…) ne sont prises en compte.

Aujourd’hui, les juges des affaires familiales ordonnent à nos enfants de voir leur géniteur (et même dormir) chez celui qu’ils accusent de viols incestueux.
Et pour finir, la garde est souvent donnée au géniteur car la mère se retrouve accusée de SAP syndrome d’aliénation parentale. (7)

Des histoires comme ça, il y en a PLEIN ! Car malheureusement nous ne sommes pas des cas isolés. D’ailleurs les associations comme Innocence en Danger existent et dénoncent depuis plus de 30 ans.

Comment faire?
Devons-nous fuir comme Priscilla Majani pour protéger nos enfants?
Nous nous devons de protéger NOS ENFANTS.

Je rappelle qu’il existe :
- LE DROIT NATUREL (8)
- LA DÉSOBÉISSANCE CIVILE (9)

Mais quand nous faisons des NON REPRÉSENTATIONS D’ENFANTS, nous sommes
condamnées et certaines emprisonnées !

Alors qu’il est prouvé que seulement 2% des plaintes sont fausses. Mais par contre, le Ministère de la justice annonce que seulement 2% des plaintes d’abus sexuels sur mineurs, aboutissent à une condamnation.
Et même Konbini (10) calcule que seulement 0,3 % aboutissent.

Comme le dit l ́avocate Marie Grimaud, il y a une « impunité des pédocriminels ».
Comme le dit Karl Zéro, « la France, c ́est Pédoland ».

Aujourd’hui, nous faisons appel à vous et vous demandons de l’aide D’URGENCE pour protéger nos enfants. Maintenant que vous savez, vous ne pouvez plus rester sans agir. Ne rien faire c’est devenir complice. En tout cas, nous ne nous tairons plus.

Screenshot gladys riffardGladys Riffard de Je défends mon enfant
Présidente de l’association Pour la défense de nos enfants
Présidente de la fédération Arche des enfants oubliés
Maman victime de désenfantement depuis le 1er juin 2021
Sous la protection des Lois Divines inaliénables et imprescriptibles.
Sans préjudice, tout droit réservé.

(1) https://press.un.org/fr/2003/DHG206.doc.htm

(2) https://www.mesopinions.com/petition/justice/defendre-agressions-sexuelles-enfants/72988

(3) https://twitter.com/defenseenfants/status/1514225688919875589

(4) https://www.tiktok.com/@jedefendsmonenfant

(5) https://t.me/jedefendsmonenfant

(6) https://t.me/jedefendsmonenfant/627

(7) https://www.mediapart.fr/journal/france/170123/narbonne-la-justice-accorde-la-garde-d-un-enfant-son-pere-mis-en-examen-pour-inceste

(8) https://t.me/jedefendsmonenfant/563

(9) https://t.me/jedefendsmonenfant/562

(10 https://youtu.be/zhWBxS4oJxs

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